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Because I adore you so [partie 2][âmes trop innocentes s'abstenir]

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Aaron T. Ryans
Aaron T. Ryans
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MessageSujet: Because I adore you so [partie 2][âmes trop innocentes s'abstenir] Because I adore you so [partie 2][âmes trop innocentes s'abstenir] EmptyDim 23 Fév - 21:22

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Nous voilà donc arrivés dans ma cabane. La main d'Effy est toujours dans la mienne. Elle est mon coeur. Elle est certainement ce que les Âmes appellent un "compagnon". Ma compagne. Mon âme soeur. on soleil. Ma Lune. On dit qu'on a besoin d'oxygène pour vivre. En fait on a surtout besoin d'amour. De cette amour qui emplit mon coeur dès que je croise le regard de la jolie blonde. Je ferme la porte derrière nous. Heureusement, tout état absolument nettoyé. J'avais tout rangé. J'ai fermé les fenêtres, ce qui me servait de volets et je me suis tourné vers elle. Elle était resplendissante. Elle était merveilleuse. Et elle était mienne. Je m'approchais d'elle et pris son visage entre mes mains. Je collais mon front contre le sien.
"Bienvenue chez nous mon ange. Tu es chez toi ici. Et j'en serais presque désolé, mais je n'ai qu'un seul lit. Tu vas être obligée de dormir avec moi. "
J'esquisse un sourire charmeur et l'embrasse doucement. Par toutes les Planètes je l'aime. Je serais capable de donner ma vie pour elle. J'aimerais ouvrir les fenêtres et hurler à quel point je l'aime à qui veut l'entendre. Elle me comble de bonheur. Et cette pensée fait renaître en moi la même fougue que j'avais lors de nos premiers échanges. Elle a une totale confiance en moi elle me l'a dit. Alors je laisse mon instinct prendre le dessus et guider mes mouvements. Je caresse son visage et l'attire contre moi. Je glisse vers son cou et effleure le suçon que je lui i fait du bout des lèvres. Je ne bouge pas, et l'embrasse sur l marque rouge. Je veux la faire frissonner. Je veux qu'elle me désire autant que je la désire. Elle a beau m'avoir dit qu'elle me fait confiance, qu'elle 'aime, elle a beau être mienne, je l'aime tout autant, mais je veux être sûr de ne pas a forcer à faire quelque chose dont elle n'aurait pas envie. L'une de mes mains se dépose sur ses hanches, avant de passer sous son T-shirt. Je caresse sa peau, doucement. Elle est douce et voluptueuse. Je l'embrasse et quémande du bout de la langue l'entrée dans sa bouche. Je ferme es yeux. Ma main qui est toujours sur son visage rejoint l'autre sous son T-shirt. Je hais ce tissus. Je suis toujours torse-nu, et mes pectoraux sont collés contre son corps.
Bon, allez, j'me casse maintenant. Ca commence à devenir un cours sur la reproduction humaine, là. Non merci.
Je la serre un peu plus contre moi. J'ai besoin de la avoir là, présente, pour être sûr que ce n'est pas juste un rêve. Ma langue joue avec la sienne. Je l'entraîne avec moi, la faisant reculer. Je la plaque contre le mur et l'embrasse avec ferveur. Nos échanges son fiévreux. Et soudainement, j'ai un doute. Mon angoisse de lui faire du mal remonte dans ma gorge et me noue l'estomac. Je... J'ai peur.... J'ai peur pour elle. J'ai tellement peur de la perdre, tellement peur qu'un jour, j'ouvre les yeux et qu'elle ne soit plus là... Tellement peur qu'elle s'en aille parce qu'elle m'en veut pour une quelconque raison.
"Tu es sûre de me faire confiance ? "
J'attends désespérément sa réponse, mais main toujours contre sa peau, dessinant des arabesques dans son dos. Je souffle doucement sur son visage. Je viens remettre une des mèches rebelles de couleur doré derrière son oreille. J'hésite un instant à bouger. Le moment est tellement parfait que les larmes me montent aux yeux. Des larmes de bonheur roulent le long de mes joues et s'écrasent contre celles de la jolie bonde. De ma jolie blonde. De ma Effy. De cette magnifique jeune femme que j'aime plus que n'importe qui au monde. Vous allez me juger certainement trop avancé, vous allez me dire que je me projette trop dans le futur. Mais je veux être le père de ses enfants. Je souhaite qu'elle soit dans mes bras comme chez elle, et jusqu'à ma mort. J'ai déposé en elle toute la confiance que je n'ai pas en moi. Je ne veux pas la faire souffrir : je veux être sûr qu'elle se sente prête. C'est une chose de l'affirmer, c'en est une autre de répéter ses propos dans un autre contexte. Si elle venait à se rendre compte que ce n'est pas ce qu'elle veut, je dormirais pacifiquement avec elle. Ce sera dur, mais je le ferais, pour elle. Je l'embrasse alors, plus pacifiquement, en y mettant de la passion. C'est un véritable tango, une alchimie parfaite, de notes tantôt lentes tantôt rapide, passionnées puis fougueuses. Ma main gauche se pose sur sa joue. Je frissonne de plaisir. Je la veux, je veux que nous ne fassions qu'un et les réactions de mon corps le prouvent parfaitement. Je descends ma main vers son cou, puis vers sa clavicule, près de son décolleté. Mon sourire se fait presque carnassier. Sur un ton moins mielleux et plus fiévreux j'approche mon visage de son oreille et souffle :
"Je t'aime Effy."
Je l'embrasse et, me surprenant moi-même, je mords sa lèvre inférieure. Pas au sang, juste un peu. Juste pour nous surprendre. Je serais peut-être grossier, mais qu'importe. Bordel, je l'aime. J'approfondis encore le baiser, tout en l'enlaçant. Ma main sr sa taille descend légèrement avant de se retrouver sur ses fesses. Je souffle dans son cou avant de l'embrasser de nouveau. Une vague de désir m'emporte,comme dans la voiture. Je ne me vois plus vivre sans elle. Elle est splendide, magnifique. Non. Elle est la personnification-même de la beauté. Sans elle, je ne suis rien. Je veux être son héros, son tout. Je veux qu'elle soit fière de moi. Je veux qu'elle reste mienne. Je lui appartiens. Je suis sien. Je n'aurais peut-être pas voulu être celui q'une autre femme. Mais Effy... Effy c'est tout autre chose. Jamais je ne changerais de planète. Je veux rester sien. Le jour où Effy partira, je mourrais. Je ne veux pas vivre sans elle. Ca me paraît impossible.
J'aurais pu m'envoler sur ce vent de désir comblé par chacun des sourires et des regards d'Effy, si un vent frais ne m'avait pas ramené à la réalité. La fenêtre près de mon lit s'était rouverte. J'attrape les mains d'Effy, et arbore un sourire gêné
"Je suis désolé mon coeur... J'en ai pour une seconde."
Je me retourne et ferme la fenêtre en râlant.


Dernière édition par Aaron T. Ryans le Mer 26 Fév - 9:09, édité 2 fois
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Effy O'hara
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MessageSujet: Re: Because I adore you so [partie 2][âmes trop innocentes s'abstenir] Because I adore you so [partie 2][âmes trop innocentes s'abstenir] EmptyMar 25 Fév - 15:31


Les cabanes  ◈ Sexy Ronron & Effy
Because I adore you so
Je t'aime trois mètres au dessus du ciel







U
ne cabane. Jamais je n'aurais cru ressentir un tel bonheur en pénétrant dans une cabane. Mais, il ne s'agit pas là de n'importe quelle cabane. Il s'agit de la sienne. Celle dans laquelle il dort chaque jour. Dans laquelle il vit. C'est son chez lui. Et à présent, mon chez moi également. À cette idée, je ne peux m'empêcher de sourire. Un sourire empreint de bonheur. Tout dans ce petit habitat me comble. À mes yeux, une pièce ne m'a jamais paru aussi belle. Mais, Aaron joue un rôle important dans ce point de vue-ci. Il me semble qu'il l'illumine littéralement. Parfaitement rangé, je fixais chaque objet du mobilier d'une intensité sans nom, dont le lit  :3 . Tout était parfait. La cabane de mes rêves. Et mon petit ami rendait ce songe éveillé d'autant plus beau, prenant mon visage entre ses mains, collant son front contre le mien. Il éveillait en moi des sentiments dont je n'avais jamais connu l'existence jusqu'ici. De l'amour, de la fougue, de la passion. Je n'aurais jamais pensé ressentir tant d'émotions en un simple échange. Dès qu'il déposait ses mains sur moi, c'était tout mon corps qui s'embrasait. Je me consumais à petit feu. Et j'aimais cela. Non, je n'étais pas masochiste. Je brûlais d'amour, de bonheur. Je brûlais, tout simplement. Dès qu'il me regardait, posait ses magnifiques iris sur moi, il me semblait qu'il parvenait à lire dans mon âme. Il me connaissait mieux que quiconque. Et il était le seul. Le seul qui me portait autant d'intérêt. Les âmes ne me parlaient uniquement pour jouer leur rôle, pour démontrer la bonté qui les animait. Lui, il me portait de l'intérêt. Un véritable intérêt. Il me voyait tel que j'étais. Ne me changeait pas. Ne me demandait pas d'être une autre, de combler toute personne croisant mon chemin des plus beaux sourires que je pouvais fournir. Il me demandait simplement de l'aimer. Et je remplissais cette demande sans hésiter une seule seconde. Je ne pourrais jamais le quitter, quoi qu'il advienne. Il était toute ma vie, à présent. Si un jour il se rendait sur une nouvelle planète, je le suivrais. S'il décidait de mourir, j'en ferais de même. Mon âme, mon cœur se trouvait entre ses mains. Je lui dévouais une entière confiance. D'autant plus lorsque sa voix résonna pour la première fois dans la cabane : "Bienvenue chez nous mon ange. Tu es chez toi ici. Et j'en serais presque désolé, mais je n'ai qu'un seul lit. Tu vas être obligée de dormir avec moi. " Chez nous. Comme j'aimais les ondulations qu'abordaient ces deux mots. Ce nous. Il esquissa un sourire charmeur. Ce sourire charmeur. Qui parvint à me faire fondre d'autant plus. Chaque seconde qui s'écoulait renforçait notre amour. Je n'y avais jamais cru avant de le rencontrer. J'étais figé dans les opinions négatives de mon hôte à qui la vie n'avait pas encore souri comme elle le devait. Mais, à présent, je croyais en l'amour tant et tant qu'il me semblait en apercevoir en tout coin de la pièce. Et malgré les soupirs de mon cher hôte qui se retenait de vomir face à ce spectacle, j'étais comblée. Il m'embrasse. De ses lèvres ardentes dont je conserve un goût exquis. Il caresse mon visage. Il m'attire vers lui. Et je me consume davantage. Je suis transporté par la danse de ses mouvements. Je suis l'objet de tous ses désirs et cette simple pensée m'emplit d'une intensité jamais ressentie auparavant. Il est l'objet de tous mes désirs. Mon soleil. Ma lune. Mon tout. Du bout de ses lèvres, il effleure ce suçon au creux de mon cou. J'en frissonne de plaisir, espérant conserver cette marque à jamais dans ma peau, démontrant cet amour infini mutuel. Mais, je n'en ai pas besoin. Notre amour est partout. Je le ressens lors de chaque seconde qui s'écoule. Il dépose l'une de ses mains sur mes hanches, et je le laisse faire. Je lui voue une totale confiance, et je ne regretterais jamais rien. Sa main sous mon T-shirt, mon cœur tambourine davantage dans ma poitrine. Je sais qu'il l'entend. Qu'il le ressent. Des frissons par milliers me traversent dès qu'il effleure de sa main ma peau. Ses deux mains dans mon dos, ses pectoraux collés contre mon corps, je me sens si bien. Dans un autre univers, seule au monde, avec lui. Nous sommes faits l'un pour l'autre. Personne ne me fera changer d'avis. Il m'embrasse, quémande du bout de sa langue l'entrée que je lui offre immédiatement. Je me laisse aller à nos échanges, je profite de l'instant présent, ignorant mon hôte et ses remarques dont je ne parviens pas à entendre le moindre mot. Elle est si loin. Je n'entends que lui. Son cœur. Nos langues qui s'emmêlent. Nos corps qui ne font qu'un. Il me serre davantage. Me plaque contre le mur, m'embrassant avec ferveur. Je suis aux anges. Je ne veux pas qu'il s'arrête. Mes jambes entourent son corps, tandis que je laisse ma langue jouer avec la sienne, inséparables. Mais, soudainement, la magie de l'instant s'éteint. Je ressens un doute infaillible qui assaille l'homme de ma vie. Je ne comprends pas. Mais, je m'inquiète soudainement pour lui. A-il un doute quant à notre amour ? Je tremble à cette idée et attend qu'il s'explique : "Tu es sûre de me faire confiance ?" Toute tension s'envole. Il a peur de me faire du mal. Mais, il ne m'en fera jamais. Ses mains dessinent des arabesques dans mon dos et je soupire de plaisir. Ses mains... comment des mains parviennent-elles donc à me faire ressentir tant d'émotions diverses qui me dévorent de leur puissance ? Son souffle parvient jusqu'à mon visage, son odeur dont je ne peux me défaire. Il glisse une de mes mèches blondes derrière mon oreille. À présent, je suis au-delà du ciel, au-delà de l'espace. Je ne sais même plus où je suis. Tout ce que je sais, c'est que je l'aime à en mourir. Et que ces larmes qui s'échappent de ses yeux me tiraillent. Je veux le voir sourire. Je ne veux pas qu'il s'inquiète pour moi. Il est le seul qui me tienne à cœur. Le seul qui joue ainsi avec mon cœur. Il est mon âme sœur. C'est simple, c'est clair. Je ne peux voir ma vie sans lui. Mon avenir est avec lui. Je ne l'imagines pas différemment. S'il n'est plus là, ma vie ne rimerait plus à rien. La mort me paraîtrait plus acceptable qu'un avenir sans lui. "Je te fais confiance, Aaron. Tu es la seule personne qui possède toute ma confiance. Elle est là, au creux de ta main. Je l'y ai déposé dès l'instant où nos avenirs furent liés. " Je l'embrasse, tout à son égale. Sa main joue sur mon corps, s'approche de mon décolleté. Un sourire fend mon visage. Je ne rêve que d'une seule chose : que nous ne fassions plus qu'un. Qu'il me retire le moindre de mes vêtements. Et réciproquement. Il souffle à mon oreille 7 lettres suivies de mon nom. Je me sens comblé, vivante. Je le veux. Je le veux. Je les lui rends. 7 lettres et son nom, doté d'un amour aux intensités certaines. Soudainement, il mord ma lèvre inférieure. Et provoque un désir si ardent qu'il semble dévaster chaque cellule de mon corps. Je ressens tant, que cela en ferait presque mal. On ne m'avait pas prévenu. Que les sentiments étaient si dévastateurs... et si attachants. Je ne pourrais plus jamais m'en défaire. Le quitter. Je ne me vois pas sans lui. Sa main descend sur mes fesses. La mienne également, tandis que l'autre caresse avec douceur son dos nu. Je l'aime. Je l'aime. À un tel point que mon cœur semble se déchirer face à tant de puissance. Il ne sait plus où contenir cet amour qui déborde, déborde et déborde encore. Il est si beau. Et il est à moi. Je le désire tant. Je le dévorais du regard, me projetais avec lui dans chacun des avenirs possibles et imaginables. Malheureusement, le monde sembla nous rappeler à l'ordre. Oui, le monde existait toujours. Je l'avais littéralement oublié. Seul Aaron occupait toutes mes pensées, aussi bien que mon cœur et que mon âme. Il s'excuse et se dirigee vers la fenêtre ouverte, tout en râlant. Un sourire se dessine sur mon visage. "Ah... dis-moi c'est enfin fini ? Je n'en pouvais plus de vos mots d'amour, de vos dévotions et tout le blabla. C'est d'un ennui ! Maintenant, pourquoi ne pas... dormir ? Si tu connais encore la signification du mot. " Je ris face à sa remarque et la coupe dans ces rêves éveillés : "Oh que non, Ef'. Ce n'est que le début. Bonne nuit à toi." Sur ce, je laisse mon jean descendre et mon débardeur s'écrasait sur le sol. J'ai confiance en lui. Et je le désire plus que quiconque. En soutien-gorge et en culotte, étrangement, je me sens bien. Le temps qu'il se retourne, je le prends dans mes bras et le couvre de baisers qu'il ne parviendra jamais à oublier...
Et ça recommence... gémit mon hôte.
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MessageSujet: Re: Because I adore you so [partie 2][âmes trop innocentes s'abstenir] Because I adore you so [partie 2][âmes trop innocentes s'abstenir] EmptyMer 26 Fév - 10:40

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ATTENTION. A PARTIR DE MAINTENANT, LE RP EST DECONSEILLE A UN JEUNE PUBLIC.
Son coeur bat à tout allure. Je l'entends. Je le sens contre moi. Il frappe à la porte de mes désirs et je la lui ouvre en grand. Elle frissonne sous mes caresses. Elle soupire de plaisir. Elle me rassure quant à sa confiance pour moi. Tout comme moi, elle ne devient que désir, fougue, amour et passion. Lilith et Aaron sont bien loin dans mon esprit. Je sais que mon hôte fait tout son possible pour ne pas regarder, pour ne pas faire partie de ce tango, mais il ne peut faire autrement. Il ne peut pas disparaître. Juste rétracter sa présence et se taire. Et c'est ce qu'il fait. Mais il est bien loin. Ses quelques seules paroles, je ne les entends pas. Seuls les mots d'Effy, rassurants, parviennent à mes oreilles. Ces trois mots accompagnés de mon nom. Je l'aime, je le lui ai dit. Elle le sait. Sa main joue dans mon dos, tandis que l'autre a trouvé sa place sur mes fesses. Puis cette fichue fenêtre s'ouvre. Je reviens à cette réalité, froide et morne, loin de notre amour fait de velours, de couleurs douces, et de tant d'autres choses agréables. Le temps que je la referme et que je me retourne, une Effy presque nue se jette entre mes bras. Et elle m'embrasse avec une telle passion, une telle effervescence que je ne peux m'empêcher de m'envoler de nouveau pour notre monde, celui qu'en quelques mots nous avons bâti, et qui me semble désormais indestructible. Car c'est ce que nous sommes devenus. Indestructibles. Non. Invincibles. And tonight, we can truly say, together we're invincible.. C'est la phrase qui revient à mon esprit pour décrire ce que je pense. Sa peau collée à la mienne me met en une ébullition totale. Je ne suis plus maître de rien. Je suis soumis à mes pulsions, à mes instincts et à mon désir. Et contrairement à ce que j'aurais pensé, j'aime ça. Parce que j'aime celle qui me procure cette sensation. Celle qui, contre toute attente, s'est offerte à moi. Je ne doute plus un instant de sa confiance. Je gémis sous ses baisers enflammés. Je l'attire à moi et recule vers le lit où je m'allonge doucement, elle sur moi. Mais ce moment est très court, car rapidement, j'inverse les positions. Je suis désormais allongé sur elle, faisant attention à ne pas l'écraser. Tout d'abord je l'observe. Je ne l'ai jamais vue ainsi. Pour affiner mon observation, je laisse mes mains jouer sur sa peau dénudée, s'aventurant aux bordures des différents tissus sans pour autant retirer ces derniers vêtements. Même si c'est une envie irrépressible que celle-là, je veux de la désirer au maximum. Je veux prendre mon temps. Je me mords la lèvre tant le désir est fort. Puis une fois son corps découvert, je remplace mes caresses par des baisers passionnés sur tout son corps. Je remonte vers ses lèvres que j'embrasse également. Nos langues se marient de nouveau. Pendant ce temps, mes mains s'aventurent dans son dos, à la recherche de ce cadenas qui m'empêche de voir sa poitrine que je ne me permets pas d'imaginer. Je le trouve enfin et arrive à dégrafer le vêtement. Je retire désormais les bretelles et le jette sur les autres vêtements d'Effy. Je la veux. Je veux la faire mienne. Mais je veux également être sien. Je défais le bouton de mon jean et le retire, le laissant tomber au sol. Mes yeux sont comblés par toute cette beauté dans un seul corps. Dans le corps de celle que j'aime. Puis soudain un éclair de lucidité traverse mon esprit, à travers le brouillard de désir. Je dépose quelques derniers baisers dans le cou de mon aimée avant de me retrouver devant mon armoire. Je l'ouvre rapidement. Mes mains sont fébriles. Je saisis une petite boîte, m'empare de son contenu l'enfile. Ce petit morceau de plastique est ce qui nous empêchera de connaître certains inconvénients du désir. Je reviens vite vers celle que j'aime, pour la combler de nouveau de caresses et de baisers, pour me faire pardonner par ma courte absence. Mais je ne veux pas qu'il nous arrive quelque chose d'imprévu. Nous n'avons pas discuté des conséquences de ne faire qu'un, je veux donc que nous soyons protégé. Personne d'autre qu'Effy et Aaron -dans mon esprit- n'est au courant de l'existence de cette boîte, volée chez les Âmes. Je fais glisser Effy sur moi. Finalement, je préfère quand c'est elle qui mène la danse. Je lui tends mon cou et dans un râle, mélange de paroles, de soupirs et de gémissements je lui dis :
"Appose ta marque sur ma peau. Fais moi... Tien."
Mes mains se font plus aventureuses. Elles viennent chatouiller les bords du dernier vêtement, si fin mais pourtant une limite qui me paraît infranchissable avec laquelle je joue. Je suis en proie à une hésitation sans limite. Puis-je la rendre encore plus heureuse avant ce moment fatidique ? Puis-je la satisfaire d'une autre manière avant cela ? Je cherche la réponse dans ses yeux argentés. Même si son corps est magnifique, ce n'est pas lui qui me préoccupe. C'est elle. Effy. L'Âme que j'aime et dont je ne veux plus jamais être séparé. Elle aurait pu avoir un tout autre corps, et moi également, que si elle avait croisé ma route, la situation aurait fini par être similaire. Je ne la désirais pas pour son enveloppe, mais pour ses qualités d'Âme rebelle. Je caresse ses seins, doucement, créant un fort contraste entre mes baisers enflammés et mes mains un peu timides et hésitantes sur cette partie de l'anatomie de la jeune femme qui est très fantasmée chez les hommes. L'une de mes mains retourne jouer avec la limite du tissus. Entre deux gémissements, je peine à articuler ces deux mots
"Je... Peux... ? "
Je veux qu'elle soit prête. Si elle veut jouer encore avec moi, à me faire frissonner, qu'elle le fasse. Je veux que le désir soit mutuel. Je l'embrasse. Je veux la rassurer. Une fois encore je veux qu'on prenne notre temps. Je suis prêt, et je sais qu'elle aussi. Mais si elle a envie d'attendre encore un peu, et bien soit, j'attendrais. Je ne lui suis pas soumis. Je l'aime. C'est différent. Ce n'est pas un plaisir uniquement charnel, comme pour beaucoup d'humains, mais la liaison entre nos deux âmes, une communication nouvelle, pour nous, étrangers à cette planète.
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Effy O'hara
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MessageSujet: Re: Because I adore you so [partie 2][âmes trop innocentes s'abstenir] Because I adore you so [partie 2][âmes trop innocentes s'abstenir] EmptyMar 4 Mar - 15:13


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J
e suis prête. Prête à ne faire qu'un avec cette âme que je chéris plus que la vie qui me fut offerte. Plus personne ne peut m'en dissuader. Je laisse mes pulsions me guider. J'ai confiance en moi-même, et confiance en mon partenaire. Nous voilà fin prêts à danser le tango en un même pas. Nos corps n'attendent qu'à être liés, à l'égale de nos âmes, connectés pour l'éternité. Impossible de nous enlever cette passion et cet amour qui vibre entre nos deux cœurs. J'entends le sien. Puis le mien. En harmonie, impossible de rompre ce rythme qui s'insinue dans chaque parcelle de nos êtres. Nous dansons littéralement. Je ne suis plus que désir et envie. Jamais je ne ressentis de telles émotions avant ce jour fatidique. Les râlements d'Effy me paraissent loin, au sein même d'un autre univers. Mais, ce n'est pas elle qui quitta la planète. C'est nous. Nous sommes dans notre bulle, dans notre cocon, et personne ne peut nous en sortir. Vêtus de simples sous-vêtements qui laissent deviner aux yeux de mon amant de toujours les courbes de ce corps d'emprunt. Elle est belle, Effy. Mais, je sais qu'il ne désire pas ce corps. Je sais qu'il désire l'âme. Qu'il désire mon âme et ses formes voluptueuses. Qu'il m'aime moi, celle qui n'eut pas de nom avant cette existence, avant lui. Et je partage cette pensée. Malgré son corps d’Apollon, ce que je désire le plus en cet instant, ce n'est pas lui, mais son âme. Je veux qu'elle soit mienne, que je puisse la tenir dans le creux de mes mains. Il se retourne, et je ne pense qu'à une seule et unique chose : plonger dans l'abysse de ses iris et atteindre les tréfonds de son âme. Bondissant sur lui, je me laisse aller à cet amour dévorant toute raison en moi. Victime des émotions humaine, j'en suis prisonnière. Impossible de m'en défaire. M'envolant dans des bourrasques de désirs, plus rien ne demeure si ce n'est lui. Son corps. Ses yeux. Ses lèvres qui jouent sur les miennes d'une fougue dont je n'aurais pu prétendre connaître l'existence quelques jours plus tôt. Sa langue s'aventure dans les profondeurs de ma bouche. Il me plaque sur le lit. Ses yeux me dévorent littéralement. Jamais je ne me suis senti aussi belle, aussi vivante. Je me sens si différente de toutes les autres âmes. Je me sens unique. En un seul regard, il provoque en mon être un déluge d'émotions qui tournoient et noient mon esprit, mon être là où personne ne pourra les repêcher. Il me regarde, contemple mon corps et mord sa lèvre face aux infimes parcelles de tissus qui couvent ces parties de l’anatomie des femmes si désirées par les hommes. Mon passé est loin. Le monde est loin. Il me semble impossible d'y déposer les pieds de nouveau, je suis transporté dans cet enchaînement de tango qui guide le moindre de mes mouvements. Je l'embrasse, je laisse mes mains gambader sur sa peau, ma langue jouer avec la sienne. Il m'analyse, et je me sens si belle. Une renaissance. C'est ce que je ressens. Dès qu'il pose ses yeux sur moi et me dévore de son amour, je me sens renaître. Encore et encore. Ses baisers parcourent mon corps. Je suis dans un état d'ébullition extrême. Je veux qu'il me retire chacun de mes vêtements. Et moi-même, je veux abandonner les siens. Je lui fais confiance. Je sais que tout instant écoulé avec lui se révélera magique. Plus rien n'importe si ce n'est ses baisers passionnés qui parcourent mon être. J'en oublie mon propre souffle, ma propre vie. Il me transporte dans un univers ou plus rien n'a d'importance. Nous sommes seuls au monde. Un monde qui nous ouvre les portes à nous seuls. À nos deux âmes étroitement liées. Tout est si parfait. Jamais je n'aurais cru atteindre pareilles folies des émotions humaines. Je ferme les yeux, me délectent de ses mains, de ses lèvres qui séjournent sur ma peau s'embrasant sur son doux passage. Mon soutien-gorge quitte ma poitrine. Durant l'espace d'une seconde, mes joues s'empourprent. Je n'ai jamais montré à qui que ce soit cette partie de mon anatomie. Ou du moins, celle de mon hôte. Mais, ce n'est qu'une brève émotion qui s'envole dès l'instant où je me souviens de qui la découvre. C'est lui. Aaron. Et il en a tous les droits. Il me contemple de ses yeux ébahis. Et je me sens si bien, comblée par un amour et un désir sans fin. Il est le seul qui m'ait jamais observé ainsi, moi, l'âme. Je veux que nous ne fassions qu'un. Ce désir s'intensifie. Il déboutonne son jean et l'envoie sur cette pile de vêtements. L'un comme l'autre, il ne nous reste plus qu'un seul et infime tissu qui couvre nos peaux. Deux limites que nous comptions bien surpasser. Mais, avant cela, un éclair de lucidité traverse cet épais brouillard de désir qui semble le troubler et lui rappelle notre sécurité. S'aventurant près d'un placard le temps d'une seconde, il s'empare de cette infime boîte, moyen de protection qui nous protégera de chacun des dangers liés à cette expression ne faire plus qu'un comme je le souhaite depuis voilà notre rencontre. Revenant de son périple, il me fait glisser sur lui. Il est sous mon corps. C'est à présent à mon tour de l'observer. J'affine mon observation, je laisse mes yeux glisser sur sa peau, avant d'embrasser chaque centimètre de son corps. Il souhaite que j'appose sa marque sur sa peau. Que je fasse de lui mien. Et je ne me le fais pas prier. L'embrassant, je lui offre au creux de son cou un suçon identique au mien, marquant mon territoire. Il est à présent à moi, autant que je suis à lui. Mais, en un sens, nous ne sommes qu'un. Je le couve de baisers plus enflammés les uns que les autres. Les seuls tissus qui nous séparent de l'acte ultime me semblent si lourds, si encombrants. Mon amant partage cette impression. Et en un gémissement, il quémande de me le retirer. Je ne peux le lui refuser. Et bien que mon cœur s'affole face à ce dernier acte avant mon souhait, je veux sauter le pas. Définitivement. Au loin, Effy s'éloigne, tentant de limiter sa présence. Il m'embrasse, il me rassure et je suis alors certaine que le moment est parfait. Tout est parfait. Et je veux que nous ne fassions qu'un, que nos désirs s'envolent à des hauteurs inimaginables, que le monde ne soit plus définitivement. Je ne veux que lui et ce qu'il me procure. Je ne veux que son âme. En un sourire, je hoche la tête, ne parvenant pas à articuler le moindre mot face à cette vague d'envie et de passion enflammant mon être tout entier. Je me sens tournoyer, si loin. Et sans attendre, je laisse cette dernière parcelle de tissus quitter ma peau, au même titre que la sienne. Nous sommes nus. Enfin. Et je ne ressens plus la moindre gêne. Il me comble de son regard, de ses baisers. En cet instant, tout disparaît. En cet ultime instant où nous ne faisons plus qu'un. Deux âmes, deux corps, liés pour l'éternité...
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