Un minimum de 10 lignes est demandé

Mon histoire, hein? Elle n'as rien de très passionnante, même si elle ne se résume pas au long fleuve tranquille qui nous plairait tant . Enfin, avant de commencer il vous faut savoir deux choses la première c'est que mes parents sont des âmes et que de ce fait je ne les vois pas comme une menace terrible contrairement à bien des humains. Ensuite, je ne suis pas un héros loin de là, et encore moins un combattant. Donc ne vous attendez pas a de tel comportement, vous aurez peut-être même plutôt tendance à me traiter de lâche, mais il faut être réaliste c'est les héros qui meurent en premier pas ceux qui réfléchissent.

Bon, alors commençons, je suis né il y a de cela 25 ans à San Diego. Mes deux parents étaient des âmes s'aimant l'un l'autre. Ils furent des parents aimant et compréhensif n'hésitant pas m'aider lorsque j'en avais besoin. Entre, leurs aide et mes propres capacités, je fut rapidement qualifié de génie. Je rentras très jeunes dans des écoles d'ingénieurs tout en étudiant la rhétorique et la philosophie, ainsi que la physique. Des matières très enrichissantes et stimulante à mes yeux bien que l'être humains moyens ne voient ses matières que comme des gènes inutiles.

Enfin passons, j'étais plutôt bien avancer dans mes études quand mes parents décidèrent de changer de vie. Effectivement, pour des raisons qu'ils n'eurent pas le temps de m'expliquer, ils avaient décidé de quitter le système en place . N'ayant que 15 ans je les suivi et nous réussîmes à rejoindre un groupe d'indigènes qui nous accepta sans poser de questions. Plusieurs années passèrent, sans problèmes, et je pût même étudier les connaissances de certaines âmes complétaient les miennes. Puis un soir, nous fûmes attaquer je ne sus jamais de qui il s'agissait tout ce que je sais, c'est que mes parents périrent corps et âmes. Personnellement, je réussie à m'en tirer indemne, ne me demandez pas je ne sais pas. Tout ce que je sais c'est que j'ai couru comme si la mort en personne me poursuivait .

Enfin bref, à ce moment j'avais 19 ans j'étais pommé, sans rien d'autres sur moi que mes habits et sans savoir ce que me réservait demain. Et je peux vous dire, que pour quelqu'un comme moi c'est une sacré épreuve. Les premiers jours furent les plus durent, perdre du jour au lendemain un certain confort et une communauté en plus de perdre ses parents ce n'est pas facile vraiment pas. Je crois même que je serais surement mort, si un certain instinct de survie ne s'était pas réveillé. Me rappelant ce que je sais grâce à ceux qui m'avait entourer je parvins à survivre. Vivant au jour le jour, sans jamais m'approcher d'une ville ou d'un village, je me nourrissais de ce que mère nature voulait bien me donner. Et grâce, à mes connaissances et mon ingéniosité je parvins même à conserver de quoi me nourrir l'hivers. Car c'était évidemment la période la plus rude. Mais contre toute attentes, je m'en sortais seul, mais je m'en sortais. J'avais même mon chez moi, bâti par mes mains et joliment cacher. J'étais convaincue que personne ne me trouverait, éloigné de tout et seul. Les chances qu'on vienne me déranger était peu nombreuses....et pourtant je me trompais.

Après 5 ans à vivre comme cela, je fus de nouveau attaqué, courant un dératé pour échapper aux traqueurs, je tombais sur un jeune garçon que j'ignorai dans un premier temps, mais bien rapidement je m'arrêtai. Si je le laissais , la les traqueurs l'attraperais. D'un autre côte , ils arrêteraient peut-être de me courser....oui, mais c'est un gamin, je pouvais pas le laisser là. Et merde, je me retournai, choppa le gamin qui dormait allonger dans une couverture. Et me remit à courir comme un dingue, cherchant des yeux une cachette . Finalement, je n'eu pas à chercher bien longtemps, je dérapai sur le sol et tomba au fond d'un trou qui devait être un ancien puits.

Je restai assis au fond espérant que les traqueurs ne nous trouvent pas. Cependant, je reportai rapidement mon attention sur le môme . Il était réveillé et me regardait avec l'air de me demander, mais qu'est-ce qu'il se passe. En tout cas il n'avait pas l'air blesser...j'ai du cul des fois...Enfin, bref je lui fit signe de ne pas faire de bruit et on attendit. Une fois que le jour fut lever je commençai à grimpé le long de la paroi avec prudence, après quelques minutes d'ascension je fus de nouveau à l'air libre, je pris la corde dans mon sac à dos qui est toujours prêt depuis l'agression où mes parents ont perdu la vie. Et pour les curieux, le sac à dos ect je les avaient trouvés en fouillant les environs, je n'ai jamais été en ville depuis ma fuite.

Je disais donc, je sortis la corde et l'attache à un arbre avant de lancer l'autre extrémité au fond du puits. Une fois, sorti je lui donne une bouteille d'eau et un paquet de gâteau. Avant de partir sans rien dire... Cependant, un étrange sentiment m'envahit, laisser un gamin de 10 ans seul dans la nature? Je pouvais pas faire ça c'est vraiment pas faisable, tant pis. Mais si je le prenais avec moi, on ne pourrait rester seul.... Il vas falloir qu'on aille dans une des bases humaines...si je me souvenais bien y en as une au nord, je pense qu'il se chargerons de nous trouver si on passe assez prêt. Je n'ai plus qu'as espéré que je ne me trompe pas.

Durant le voyage, le jeune garçon et moi fîmes connaissance, il appelais Max, il avait une grande soeur et un grand-frère. Lui et sa soeur avait fuit, il y à quelques années, mais s'étaient perdus de vue il y as 6 mois. J'appris également qu'il était débrouillard et surtout qu'il était surdoué, cela nous faisait un point commun malgré les années qui nous séparaient. Un soir alors que je traficotais comme je pouvais un vieux talky-walky dans l'espoir de pouvoir lui permettre d'envoyer des ondes radio, je remarquas que le jeune max m'observais. Au début, début je ne dis rien puis il commença à me poser des questions. Comprenant qu'il voulait apprendre, je partageas avec joie mes connaissances. Et cela devint une sorte de rituel du soir, il cherchais des questions à me poser dans la journée et je lui répondais du mieux que je pouvais. Il assimilait rapidement ce que je lui enseignais et cela me faisait plaisir. J'avais oublié à quel point les contacts humains étaient important et surtout à quel point la présence d'enfant était revigorante.

Après 7 mois de périple, nous fûmes finalement récupéré par le groupe de Castiel. Ses derniers après avoir vérifié si nous n'étions pas dangereux nous accueillit à bras ouvert , et mes compétences furent également saluer. Rares était ceux capable de jouer avec la technologie des âmes sans en être une. Et très peu de techniciens fuient la vie qu'ils ont. On m'installa dans une petite chambre qui possédait une autre pièce bien plus spacieuse à côté. Lorsque j'ouvris la porte j'avais l'impression d'être au paradis, un atelier rien qu'as moi avec une cheminée qui si je la modifiais un peu serait parfait pour chauffer les composants. Ajouter à cela les outils et les machines déjà présentes dans la pièces tel des offrandes qui m'étaient destinée, je ne pus que bouillir d'impatience. Je lâchai mon sac et commença à explorer la pièce cherchant pièces rare et outil et commençant déjà à réparer des communicateurs en panne. La technologie, sans doute ce qui m'avait le plus manquer ses dernières années. Et on venait de m'offrir une véritable mine d'or.

La communauté me connait peu en vérité, ils savent bien que je suis là, mais vu que je passe la majeure partie de mon temps à bricoler avec ou sans l'aide de Max, que je considère comme mon apprenti. On se contente souvent de m'amenez des appareils à réparer ou des pièces qui pouvaient m'être utile selon eux. Sinon il m'arrivait de sortir pour discuter avec le médecin ou le chef du groupe cela se terminait souvent en débat interminable sur le bien fonder de mes recherches, car oui je tente de construire quelques chose de nouveau, mais on m'a à l'oeil, car on craint que ce que je cherche à faire n'ammène les traqueurs jusqu'ici. Ce qui n'est que foutaises après tout, je sais parfaitement ce que je fais et j'agis dans la plus grandes des prudences!

Enfin, c'est ici que se termine mon récit, comme je vous l'avais dit rien d'extravagant bien des gens vivants encore aujourd'hui ont des histoire bien plus surprenante et intéressante à vous conter. Personnellement, je ne suis pas une star ou même un héros je suis juste un homme en quête de paix.