[PV : Keller] Que cela donne-t-il quand un génie rencontre une aventureuse ?

◗ vagabond **Mélicendre Strauss**

« Que cela donne-t-il quand un génie rencontre une aventureuse ? »

Je me demandais vraiment à quoi pouvait ressembler ce John Keller dont m’avait parlé Max. Tout ce que je savais pour le moment, s’était qu’il l’avait aidé quand moi je ne l’avais pas fait. Ça me suffisait amplement pour me déplacer afin de le remercier. Max me fit traverser de nombreux couloirs dont plusieurs que je n’avais encore jamais emprunté. Ok, s’était facile puis que je n’étais là que depuis moins de deux jours, mais bon. Il n’était pas non plus dans la partie du château la plus fréquenté. Repérant deux trois points de repères en mis rendant, je devrais tout de même réussir à y retourner de nouveau plus tard. Ce ne serait peut-être pas utile, mais comme je préférais toujours savoir où je me trouvais, cela pourrait se révéler utile. Surtout que d’après ce que me racontait Max en même temps que nous marchions, il avait tendance à passer du temps avec lui quand il n’était pas avec ces amis.

Sans attendre de réponse, Max entra dans la pièce après avoir rapidement toqué à la porte. En voyant que j’hésitais, il me dit que je pouvais venir. A cette heure-là, il était à l’atelier en générale et n’entendait pas forcément quand il frappait. La première fois, il avait attendu plus d’une heure avant d’entrée et de le trouver en train de travailler. Depuis, il ne faisait plus que toquer par habitude. Aillant été élevé parmi les Âmes, certaines petites choses nous restait. Acceptant ces explications, je l’envoyais devant prévenir que je venais tandis que j’entrais dans la chambre de ce Keller. Tout ce que je pouvais dire était qu’il s’agissait bien d’une chambre d’homme. Pas étonnant que Max dorme avec ces amis et non ici vu la taille de la pièce. Il y avait juste le minimum syndical, mais celle-ci donnait sur une seconde dont revenait d’ailleurs Max tout sourire en me prenant par la main pour m’y faire entrer.

Ce petit bonhomme qui était un vrai mélange de nos parents alors que je ressemblais d’avantage à ma mère et Matti à notre père était des plus impatients. Comme si ce qui se trouvait de l’autre côté de la porte était extraordinaire et qu’il fallait absolument que je le vois. Une fois passé la fameuse porte, je ne pus dire le contraire. Surtout connaissant mon petit frère. Cette pièce était bien plus grande que celle servant de chambre à l’homme qui me faisait face. De superbes yeux bleus sur le visage d’un superbe latino. Ce qui était sûr, c’était que ces demoiselles devaient être toutes émoustillées en le croisant. Je ne pouvais qu’être d’accord, mais je n’avais jamais été du genre à bavé devant les beaux garçons. Bon ok, j’étais resté deux secondes à admiré l’ensemble. Peut-être un peu plus, mais j’avais très vite retourné mon attention sur ce qui avait été fait de cette pièce. Sauf que cette même pièce donnait un intérêt supplémentaire à cet homme puisqu’elle lui appartenait. Ce qui voulait dire qu’en plus d’être agréable à regarder, il était loin d’être bête. Ça, s’était déjà plus rare.

- C’est plutôt pas mal. Je comprends mieux pourquoi Max adore cet endroit.

Ne chercher aucune raison particulière sur ma réaction. J’étais moi-même surprise de ne pas avoir commencé par me présenté et je ne voulais pas tout de suite réfléchir pourquoi je me comportais bizarrement par rapport à mon comportement habituel. Cette pièce devait très probablement être la véritable chambre à l’origine avant d’être aménagé en atelier. Le petit salon qui devait avant accueillir les visiteurs aillant du coup été revu en chambre. Le seule petit truc embêtant étant la chaleur qu’il y régnait. Je n’aurais pas dit non à un petit courant d’air. Souriant et retournant mon attention vers son propriétaire, je lui tendis la main pour serrer la sienne.

- Bonjour, je suis Mélicendre Strauss. Vous devez savoir que je suis la sœur de Max. Je voulais simplement venir vous remercier pour ce que vous avez fait pour lui.

Un soupçon de remord devait être perceptible dans ma voix. Au souvenir du jour où nous avions été séparé et du temps qu’il avait passé seul avant que cet homme ne le prenne sous son aile, je ne pus m’empêcher de regarder mon petit frère avant de le serrer dans mes bras en essayant de garder une mine la plus satisfaite possible. Ce qui était sûr, s’était que je serais à vie redevable à cet homme. Remarquant un objet qui m’était familier, mais que je ne m’attendais pas à voir chez des humains, je m’en approchais pour l’examiner. Qu’est-ce qu’une batterie à photons faisait ici. Ces trucs étaient capables de fournir assez d’énergie pour faire fonctionner presque n’importe quoi de taille moyenne à vie, le tout avec zéro déchet pour l’environnement. Elle ne semblait pas fonctionnelle pour le moment, mais il ne lui manquait que très peu de pièces que je savais où trouver. Mes connaissances n’étaient pas dans ce domaine de la science, mais l’un de mes amis à la Fac était bricolo et s’était occupée de la mienne lorsqu’elle avait eu un disfonctionnement. Délaissant l’appareille, je me retournais vers John en m’appuyant contre le plan de travail.

- D’après ce que je vois vous êtes le bricolo et inventeur du coin.

Inventeur car j’avais aussi remarqué des objets dont j’ignorais tout. Je n’étais pas la plus calé en ingénierie, loin de là, mais je savais reconnaître la technologie des Âmes. Hors certains de ces objets l’utilisait, mais d’une toute autre façon. Entre John et Pharell, le château ne risquait pas de s’écrouler de sitôt. Max me rejoignit en m’imitant avant de prendre la parole.

- Mél bricole aussi. Elle m’a appris tout ce que je savais avant que je ne te rencontre.

- Max, ne dit pas de bêtises. A part deux trois pièges ou autres, je suis loin d’être capable de réparer tout ce qui touche à la technologie comme vous.

- Mais, t’es la meilleure en biologie et histoire des mondes, me contra-t-il tout fière. J’ai jamais réussi à comprendre et savoir tout ce que tu sais.

- Uniquement par ce que ça ne t’intéresse pas. …Tu n’as pas cours normalement à cette heure ? Dépêche-toi d’y aller et pas de mais. Je sais très bien que tu n’y apprends pas que des trucs que tu maîtrises donc file.

- Uniquement si tu promets de venir nous faire la classe la prochaine fois.

- Grouille. On verra.

Il avait essayé d’argumenté d'avantage, mais il s’était ravisé à la seconde où j’avais passé moins mon bras autour de ces épaules et posé mes doigts sur son flanc. Ça marchait à tous les coups. La menace ultime pour lui était les chatouilles et j’étais très doué pour cela. Je ne savais en revanche pas comment j’avais fait pour y échapper en retour car je l’étais autant que lui. Il ne devait pas avoir encore osé le faire quand il avait dix ans, mais ça risquait de ne plus tarder. Regardant John, pour voir comment il prenait cette scène, je relâchais Max après un petit savon. Celui-ci courant directement se planquer derrière lui, j’haussais un sourcil pour mon frère qui comprit tout de suite le message et fila. Il savait très bien que si je l’avais voulu, je ne me serais pas gênée d’aller le chercher, même caché derrière son sauveur. Amusé, je laissais échapper un petit rire avant de reporté mon attention sur John. Tout en me hissant sur son plan de travail.

- Sinon, tu travailles sur quoi en ce moment ? Je ne suis pas forcément douée pour s’est truc là, mais je peux peut-être te trouver ce qu’il te faut. A moins que tu préfères que je te laisse travailler.

C O D A G E P A R @G A K I. S U R E P IC O D E

◗ groupe de castiel **John Keller**

La soeur entre en scène

Deux jours, deux jours que je travaillais sur cette accélérateur à plasma, les âmes préfèrent les photons et c'est leurs droit mais ce système à un défaut énorme c'est que même en réduisant au minimum cette technologie , l'énergie fournit est bien trop importante pour ce que je veux fabriquer, je planche donc sur un petit réacteur à plasma afin d’alimenter mon projet, projet que je n'ai pas démarré pour l'instant puisque si je n'ai pas la source d'énergie elle devient inutile. Et je suis sur de tenir le bon bout, il me manque juste quelques réglage pour le rendre fonctionnel, mais le problème c'est que je n'arrivais pas à calibrer correctement.

Bah, j'y arriverais à force, il suffit d'être entêter et d'essayer jusqu’as ce que sa marche. Je prit ma tasse quand on frappa à la porte . Hum, surement Max même si à cette heure il devrait se trouver autre. Pas la peine de répondre il sait qu'il peut venir quand il veux. Je m'assis sur le tabouret et laissa enfin mes muscle se reposer un peu, voila bien 7 h que je suis debout et je commence à avoir mal aux jambes. Il faudrait peut-être que je songe à dormir, ne regardant pas l'heure je ne sais même pas combien de jours ont passer depuis ma dernière nuit de sommeil. Une peut-être deux. Enfin, je me reposerais quand j'aurais terminer, ou que je risque de m'écrouler de fatigue.

Tien, Max est long à rentré d'habitude il me rejoint en moins de 30 sec, il est peut-être accompagner à moins que ce soit quelqu'un d'autre. Bon,dans ce cas il faut que j'éteigne la machine, la laisser longtemps allumer sans surveillance n'est pas une bonne idée. Je retourna sur l'objet qui m'avait tenu éveillé aussi longtemps et commença à l'éteindre, car oui il n'y as pas d’interrupteur on/off, sa c'est dans la finalisation du projet, donc pas pour tout de suite. Plonger dans cette manœuvre nécessitant une grande concentration je ne remarqua l'entrer de mes visiteur que lorsque j'entendis une voix féminine faire un compliment sur mon installation, le stade critique étant passer je me permit de sourire et de relever la tête en lui adressant un merci, d'une voix enroué. Cela faisait un moment que je n'avais pas parler trop concentrer sur mon travaille et même avec le café, ma bouche était passablement pâteuse.Je l'écouta pendant qu'elle se présentais

Posant mes outils, je but une nouvelle gorgée en me raclant la gorge.

<< Désolé je suis un peu enroué. Un café?>>

En m'exprimant, je m'approcha de la cafetière et présenta une tasse propre se trouvant à coter.

<< Et puis pour votre frère je n'ai pas besoin d'être remercier. C'était tout à fait naturel, quel genre de monstre aurais-je été si j'avais abandonné un enfant en pleine nature. Et puis,m'est tout à fait sympathique.>>

N'ayant pas de siège digne de ce non, je fit de la place sur le plan de travaille, elle fut trop occuper avec son frère pour le remarquer. La scène me fit sourire, les liens familiaux était toujours très fort mais surtout très amusant à observer. Les gens ne se rendant pas comptes qu'il se comporte souvent comme des enfants dans ses situations et ceux même si ils sont en présence d'étrangers. Et j'avais un cas comme celui-ci juste sous les yeux.

Et je ne pue m'empêcher de rire lorsque max vint se cacher derrière moi.

<< Perdu, max je te protège des dangers pas de ta soeur. >>

Je le regarda filer, le sourire au lèvre quand j'entend un merveilleux rire provenant de la soeur de max. Rire qui attiras mon attention et je prit enfin de le temps de la détaillés. Une femme aux cheveux brun, et aux yeux bleu avec un visage joyeux et qui attirais le regard bien qu'on pouvais voir que sa vie n'avait pas été facile tout les jours. Je la regarda s'asseoir sur le plan de travail sans rien dire. Elle prit ensuite la parole et me questionna sur mon travaille, je sourit curieuse en plus sur ce point elle est comme son frère.

<< Apparemment votre frère, ton frère? Tu prèfére peut-être le tutoiement? Enfin, il t'as parler de moi, et bien je suis John keller, ingénieur humain de ce modeste château. Actuellement je travaille sur un générateur à plasma réduit, il ne permettra pas de fournir beaucoup d'énergie, c'est une technologie dépassé après tout mais j'en ai besoin pour un autre projet. Et non, Mal tu ne me dérange pas, j'ai besoin d'une petite pause, et tu me fournit le prétexte parfait pour interrompre mon travail.>>

Je fit une pause durant laquelle je m'assis sur mon tabouret à roulette et me positionna juste devant, elle ma tête juste un peu en desous de la sienne si bien que je devait la lever pour la regarder et elle baisser la sienne.

<< Parle-moi de toi, ton frère ne tarie pas d'éloge à ton sujet et j'ai bien envie de connaître la femme merveilleuse dont il me parle tant.>>

◗ vagabond **Mélicendre Strauss**

« Que cela donne-t-il quand un génie rencontre une aventureuse ? »

Alors que nous entrions dans l’atelier, j’entendis le moteur d’un appareil s’éteindre. Probablement celui auquel était en train de toucher ce fameux John dont Max me parlait depuis le petit déjeuner. Je ne savais pas à quand remontait sa dernière nuit, mais elle ne devait pas être récente vu sa tête. Le pire étant qu’il était loin d’être vilain pour autant. A revoir après une bonne nuit et douché… Reportant mon attention sur la machine, je me mis à observer l’atelier de plus près. Plutôt impressionnant. Je fis d’ailleurs une remarque à ce sujet avant même de me présenter. A croire que je venais d’oublier mes bonnes manières. Il me remercia pour le compliment avec un sourire auquel je répondis en retournant mon attention sur un appareil qui m’était familier. Le reposant, je me présentais enfin en le remerciant de ce qu’il avait fait pour Max. Avant de reprendre la parole, il se racla la gorge pour essayer de régler son problème de voix tout en buvant de son café.

- Désolé je suis un peu enroué. Un café?
- Oui, merci, acceptais-je volontiers en le suivant pour en prendre une tasse, après avoir chassé d’une main ces excuses pour montrer que ce n’étais rien.
- Et puis pour votre frère je n'ai pas besoin d'être remercié. C'était tout à fait naturel, quel genre de monstre aurais-je été si j'avais abandonné un enfant en pleine nature. Et puis, m'est tout à fait sympathique.

Je sourie a sa remarque. J’étais contente que Max soit tombé sur lui et en même temps j’imaginais parfaitement ma réaction si cela n’avait pas été le cas. J’aurais été loin d’être aussi agréable. Comme l’avait dit Kristal la veille, je pouvais faire peur quand je m’énervais. Heureusement, ça n’arrivait pas très souvent. Enfin bref, pour le moment, je devais faire taire la crevette qui me servait de frangin. Tient, il avait cours normalement. Raison parfaite pour le faire déguerpir avant qu’il n’en rajoute encore. Je savais qu’il m’adorait et s’était également le cas, mais je n’étais pas à l’aise quand il faisait ça. Il venait de s’échapper pour ce cacher derrière John, s’il croyait que s’était ce qui risquait de m’empêcher de lui passer un savon s’il ne décollait pas, il se trompait et il le savait parfaitement. Je jetais un coup d’œil justement à notre hôte qui venait de rire des bêtises de Max avant de jeter un regard qui en disait long à mon frangin.

- Perdu, max je te protège des dangers pas de ta sœur.
- T’as entendu, dis-je avec un sourire satisfait.

Il n’en fallut pas plus pour qu’il se décide à s’éclipser, ce qui m’arracha un rire amusé. J’adorais vraiment mon petit frère, même quand il essayait d’avoir le dernier mot. Ce John me plaisait de plus en plus. J’avais une sale horreur de ceux qui me disaient comment je devais me conduire avec mes frères. Les seuls qui en avaient le droit étaient mes parents. Hors, ils n’étaient pas là. Dès que la crevette fut hors de vue, je me hissais sur le plan de travail avant de continuer de siroté mon café. Ce n’était pas ma boisson préféré. Tout ce qui touchait à la caféine avait autant d’effet sur moi que de l’eau. Je ne voyais donc aucun intérêt à en boire, sauf quand on m’en proposait. En plus, j’avais soif avec cette chaleur. J’avais l’impression d’être dans le désert en pleine après-midi. Je pouvais parfaitement le supporter et ne fis donc aucune remarque à ce sujet, me contentant de boire la boisson qui se trouvait dans ma tasse. Après avoir bus une nouvelle gorgée, je reposais ma tasse à côté de moi sur le plan de travail pour lui poser une question tout en m’assurant que je ne dérangeais pas. Après tout, il avait peut-être envi de se reposer. Ce ne serait pas étonnant. Je fus vite rassuré sur la gêne que j’avais pu occasionner quand il me sourit. Bon, ça devait aller.

- Apparemment votre frère, ton frère? Tu préfères peut-être le tutoiement? Enfin, il t'as parler de moi, et bien je suis John keller, ingénieur humain de ce modeste château. Actuellement je travaille sur un générateur à plasma réduit, il ne permettra pas de fournir beaucoup d'énergie, c'est une technologie dépassé après tout mais j'en ai besoin pour un autre projet. Et non, Mel tu ne me dérange pas, j'ai besoin d'une petite pause, et tu me fournis le prétexte parfait pour interrompre mon travail.

- Ravi de t’être utile. J’espère que Max peut aider, moi je suis loin de maîtriser ce sujet. J’ai à peine quelque notion et encore, dis-je d’un air un peu embêter tout en me massant une épaule endolorie.

J’avais espéré avoir réglé ça, mais ce n’était apparemment pas encore le cas. J’étais bonne pour un peu d’exercice d’assouplissement quand j’aurais un peu de temps. Je ne le lâchais pas du regard et rougis légèrement quand il se trouva en face de moi assis sur son tabouret. Me raclant la gorge à mon tour, je portais ma tasse à mes lèvres pour en prendre quelques gorgé supplémentaire. J’étais mal à l’aise. Nan, pas ça. Intimidé ? Je n’en savais rien, je n’avais pas du tout l’habitude de ce genre de personne. Il ne me déplaisait pas du tout, mais je ne savais pas comment je devais me comporter. Oui, s’était juste ça. Je ne ça vais pas comment je devais me comporter avec lui. Avec les garçons, s’étaient naturelle vu qu’on avait grandi ensemble. Les Âmes étaient toutes douces et attentionnées. Seul les traqueurs me hérissaient le poil et me donnait envie de partir le plus loin possible d’eux. Bon aller, je n’allais pas jouer au gamine de trois ans. J’avais passé l’âge de me cacher derrière les jupons de ma mère. Reposant ma tasse, je le regardais de nouveau dans les yeux et basculais ma tête sur le côté en attendant qu’il me pose une nouvelle question. Après tout, j’étais chez lui et m’y était plus ou moins incrustée. Sans parler du fait qu’il avait aidé Max et qu’avec ce simple fait, il avait déjà gagné ma confiance en bonne partie.

- Parle-moi de toi, ton frère ne tarie pas d'éloge à ton sujet et j'ai bien envie de connaître la femme merveilleuse dont il me parle tant.
- Heu…

Bon sang. Qu’est ce que Max lui avait raconté. J’avais immédiatement redressé la tête en l’entendant me complimenter et essayait de trouver une position plus confortable. Le plan de travail était subitement devenu bien plus dure. Me retrouvant ridicule à gigoté comme je le faisais, je m’arrétais et m’occupais les mains en faisant tourner ma tasse tout en réfléchissant à ce que j’allais lui répondre. S’était au choix. Soit je n’avais pas grand-chose à raconter. Soit j’étais partie pour un monologue interminable. Monologue ou réponse courte… Bon, on verrait bien.

- Je ne sais pas vraiment ce que Max t’as dit. Il a surement enjolivé les choses. On a grandi jusqu’à ce qu’il ait huit ans avec des Âmes. Je suis allée jusqu’à l’université où j’apprenais la diversité des mondes et leurs histoires. Ça peut sembler étrange de s’intéresser aussi à l’histoire quand on est dans les sciences, mais je trouve sa plus logique. On peut avoir ainsi tout le contexte qui a conduit à ce qu’on sait. Enfin bref, je me débrouille dans tout ce qui est organisme vivant de manière générale et leur histoire. En tout cas avant de devoir partir. Maintenant mon truc s’est plutôt de trouver ce dont on peut avoir besoin. Comme je me mêle bien à la population des Âmes, s’est plus simple pour moi de récupérer certaines choses. Voilà, je ne sais pas vraiment ce que je peux dire d’autre. Et toi, comment tu as fait pour savoir faire tout ça ? Maîtrisé la technologie à ce point, ce n’est pas donné à tout le monde. Même pour une Âme. Tu en as connu qui te l’on apprit ?

Woua… Moi qui voulais faire au plus court, je trouvais que s’était déjà bien assez long. Pourtant, il y avait plein de truc que je n’avais pas dit. Reportant mon attention sur le bel homme qui se trouvait en face de moi, j’attendis sa réponse. S’il voulait approfondir certaines choses, je ne serais pas contre. Je n’avais parlé de rien qui me posait de problème pour le moment. Si par contre, cela venait à toucher certains sujets, surtout un, je ne savais pas vraiment si j’étais déjà prête à lui faire confiance à ce point. Bon et si on jouait un petit peu. J’étais plutôt forte à ce jeu-là.

- Je peux peut-être m’amuser à deviner d’où elles sont originaires si elles n’ont pas pris de noms humains en venant ici.

C O D A G E P A R @G A K I. S U R E P IC O D E

◗ groupe de castiel **John Keller**

Une personne captivante

Première observation, cette demoiselle bien que ravissante semble avoir quelques problèmes musculaire. Je sais déjà comment arranger cela. Il suffit d'envoyer une faible impulsion Electrique pour détendre le muscle et faire disparaître la possible présence de tissus cicatricielles pouvant entraver le mouvement et dans certains cas provoquer une gêne voir de la douleur en continue.Elle m'avais demandez si Max m'était utile, j'en sourit.

<< Max est sans aucun doute plus compétent que n'importe qui d'autre ici pour m'assisté, cependant ne t'inquiète pas je ne le fait pas travailler sur les choses dangereuse, par exemple il a interdiction de toucher au générateur à plasma.>>

Je ne voulais pas non plus l’inquiète, c'est pour cela que j'ai bien préciser que je surveillais ce qu'il faisait. Deuxième, observation elle était plutôt timide, je sourit et bien on aurais pas dit cela il y as quelques minutes quand son frère était encore là. A moins que je l'intimidais, mais je n'arrive pas à envisager cela. Je continua de l'observer attendant ce qu'elle dirais sur elle même. Apparemment elle ne s'attendais pas à cela, car elle ne répondit que par un simple heu...et bien sa commence bien! Elle m'amuse, et me détend le tout par une simple discutions. Je l'aime bien, enfin rien de bien étonnant venant de quelqu'un de la famille de Max.

Sa gêne avait apparemment augmenter, elle n'aime donc pas parler d'elle, et j'en aurais la confirmation si après une présentation relativement sommaire elle me pose des questions dans le but de changer de sujet. Je me leva dans l'intention de lui laisser un place plus approprier, mais je n'eu pas le temps de lui proposer elle avait commencer à parler et je n'allais pas l'interrompre dans son élan.

-Je ne sais pas vraiment ce que Max t’as dit. Il a surement enjolivé les choses. On a grandi jusqu’à ce qu’il ait huit ans avec des Âmes. Je suis allée jusqu’à l’université où j’apprenais la diversité des mondes et leurs histoires. Ça peut sembler étrange de s’intéresser aussi à l’histoire quand on est dans les sciences, mais je trouve sa plus logique. On peut avoir ainsi tout le contexte qui a conduit à ce qu’on sait. Enfin bref, je me débrouille dans tout ce qui est organisme vivant de manière générale et leur histoire. En tout cas avant de devoir partir. Maintenant mon truc s’est plutôt de trouver ce dont on peut avoir besoin. Comme je me mêle bien à la population des Âmes, s’est plus simple pour moi de récupérer certaines choses. Voilà, je ne sais pas vraiment ce que je peux dire d’autre. Et toi, comment tu as fait pour savoir faire tout ça ? Maîtrisé la technologie à ce point, ce n’est pas donné à tout le monde. Même pour une Âme. Tu en as connu qui te l’on apprit ?

Eh bien! Quand elle démarre elle démarre! Bien qu'elle reste assez évasive, elle montre quand même une certaine intelligence, peu de personnes suivent les mêmes études pour autre chose que la curiosité, son intérêt est à la fois dût à de la curiosité, mais aussi à une réelle recherche de compréhension. Et je ne doute pas qu'elle serait devenue une référence en la matière, mais la vie en as décidé autrement aujourd'hui elle écume les routes et les villes. Si vous voulez mon avis elle gâche son talent...Bon en tous cas elle n'as fait qu'éveiller mon intérêt pour elle. Et comme je l'avais deviner elle change de sujet. Elle n'est pas à l'aise quand il s'agit de parler d'elle. Bon je ne peu rien y faire mais au moins je vais amélioré son confort.

Sans rien dire je la prit doucement et la fit s'asseoir sur le tabouret, et lui sourit.

<< -Mélicendre, pour commencer je doit te dire que je te trouve très intéressante et je doit également dire que contrairement à ce que tu crois tu mérite les éloges que te fais ton frère. Il t'avais décrit comme quelqu'un d'une grande beauté et intelligente, bien qu'il dise que sur ce plan il te bat à plat de couture. Et je ne peu qu'être d'accord avec lui, sauf sur le dernier point je ne te connais pas assez pour comparé vos QI.>>

Retrouvant ma mobilité je me mit à tourner non loin d'elle en farfouillant dans mon joyeux bordel organiser. Trouvant enfin ce que je cherchais je lui montra un petit stylo qui semblais tout à fait banale.

<< Pour ce qui est de mes connaissances, comme ton frère j'ai sauté plusieurs classe et j'ai étudier dans des écoles d’ingénierie mécanique et technologique. Cependant, je ne me suis pas brider à cela j'ai également étudier la rhétorique et la philosophie, deux matière au combien importante pour développé l'intelligence n'est-ce pas? Ensuite après avoir fuit avec mes parents je suis tomber sur deux âmes qui m'ont instruit dans ses domaines. Et le reste c'est des découverte personnelles à base de tâtonnement. Par exemple ce stylo à une utilité toute relative qu'on ne lui soupçonnerais pas, regarde.>>

Je posa rapidement la pointe sur l'épaule de mel et appuya sur le bouton supérieur lâchant une petite décharge électrique qui devrait amélioré sa condition, cependant cela est assez désagréable sur le coup. Je m'éloigna et reposa l’électrode avant de m'appuyer sur le bureau en face d'elle .

<< Désolé, j'ai pas put m'empêcher de remarque que tu semble être déranger par ton épaule, normalement sa devrais aller mieux. Et ne t'inquiète pas je l'ai testé c'est sans danger. Pour les noms de mes parents je préférais ne pas en parler et surtout cela ne t'avancerais à rien ils avaient des nom tout à fait humain.>>

Je continue de l'observer, elle est vraiment captivante, je n'avais pas rencontrer de personne aussi intéressante depuis un moment maintenant.

<< Je sais que ton frère à passer un moment seul dans la nature avant de me rencontrer et toi, comment t'en est-tu sortie? C'est une question qui me vient à l'esprit car même si aujourd'hui les humains s'entre aide certain n'aurais pas hésité à s'attaquer à une femme aussi belle que toi. Alors comment as-tu fais pour échapper à ce genre de problème?>>

◗ vagabond **Mélicendre Strauss**

« Que cela donne-t-il quand un génie rencontre une aventureuse ? »

- Max est sans aucun doute plus compétent que n'importe qui d'autre ici pour m'assisté, cependant ne t'inquiète pas je ne le fait pas travailler sur les choses dangereuse, par exemple il a interdiction de toucher au générateur à plasma.

De quoi ? Du plasma. Encore heureux qu’il ne le laissait pas y toucher. Il n’a que 13 ans. Bon en tout cas, Max est toujours aussi doué que lorsque je l’ai laissé. J’ai peut-être dû faire des gros yeux en entendant le mot plasma car il le précisa également qu’il le surveillait lorsqu’il l’aidait. J’allais peut-être passer de temps à autre pour voir comment ça se passait, juste le temps que mon côté protecteur dessert les dents. Ma logique avait bien comprit que cela devait aller puisque après trois ans, il était toujours entier. Il était même parfaitement épanouit. Une chose que je n’aurais pas pu parier lorsque nous étions partie de notre cocon familiale. Encore une chose pour laquelle je lui étais redevable. Je n’allais jamais réussir à lui rendre le dixième de tout ce qu’il avait fait pour nous.

- Parle-moi de toi, ton frère ne tarie pas d'éloge à ton sujet et j'ai bien envie de connaître la femme merveilleuse dont il me parle tant.

- Heu…

J’allais étrangler Max, façon de parler. Qu’est-ce qu’il avait bien pu lui dire. J’étais loin d’être à l’aise. Entre l’intimidation que je ressentais pour cet homme qui ne ressemblait à personne que je n’ai connu jusqu’à maintenant et le fait de parler de moi-même, j’étais loin d’être sortie de l’auberge. Le voyant me sourire, je m’arrêtais de gesticuler comme je le faisais et entreprit de lui répondre. Comme je ne savais pas trop ce dont il voulait que je lui parle, je fis un rapide résumé de ma vie jusqu’à maintenant. Juste avant que je ne commence mon explication, il s’était levé. Cela m’aida peut-être à parler qu’il se trouve un peu plus loin car je n’aurais pas crus parler autant lorsque j’avais commencé. En même temps, il n’y avait rien de très détaillé. Juste un résumé d’étapes principale sans détaille ni explication sur mes buts ou autres. Tout en parlant, une série de questions me vint à l’esprit le concernant. Ma vie n’était pas des plus ordinaires, mais la sienne ne devait pas non plus l’être pour qu’il sache tout cela. Ce n’était pas donné à n’importe qui de savoir manipuler la technologie à ce point. Je ne me gênais donc pas pour les lui poser puisqu’il avait commencé. Cela m’aida même à retrouver mon assurance. Dès que ma curiosité était piquée à vif, j’en oublier souvent tout le reste.

- Et toi, comment tu as fait pour savoir faire tout ça ? Maîtrisé la technologie à ce point, ce n’est pas donné à tout le monde. Même pour une Âme. Tu en as connu qui te l’on apprit ? Je peux peut-être m’amuser à deviner d’où elles sont originaires si elles n’ont pas pris de noms humains en venant ici.

Sans que je ne le vois venir, il m’attrapa pour me déposer à sa place sur le tabouret qu’il occuper il y a encore peu. Ne m’y attendant pas du tout et ne savant pas comment y régir, je ne dis rien. Me contentant de lever un sourcil interrogateur en l’observant tandis qu’il me sourit comme si cela était normal. Bon, je n’allais pas me plaindre. Le siège était plus confortable, même si j’aimais bien être perché là-haut. Je me contais donc d’attendre ce qu’il allait me répondre.

-Mélicendre, pour commencer je doit te dire que je te trouve très intéressante et je doit également dire que contrairement à ce que tu crois tu mérite les éloges que te fais ton frère. Il t'avais décrit comme quelqu'un d'une grande beauté et intelligente, bien qu'il dise que sur ce plan il te bat à plat de couture. Et je ne peu qu'être d'accord avec lui, sauf sur le dernier point je ne te connais pas assez pour comparé vos QI.

Moi qui commençais à ne plus être gêné du tout, j’eu de nouveau droit à une pointe de malaise. Ok, j’étais loin d’être bête, mais bon. En comparaison avec Max qui comprenait tout ce que je lui apprenais du premier coup, moi j’avais besoin de travailler en moment pour me souvenir de tout. Par contre, je ne voyais pas en quoi j’étais si jolie. Max est petit et qui plus est mon petit frère donc j’avais toujours sourie en l’entendant me dire ces choses-là. Je trouvais ça adorable, mais l’entendre de la part d’un homme, s’était totalement autre chose. S’était surtout cela qui me m’était mal à l’aise cette fois-ci. Me mordant la lèvre inferieur, je m’obligeais à laisser couler son compliment du mieux que je le pouvais. Heureusement, il ne semblait pas faire vraiment attention à moi à ce moment ce qui m’aida. Quand je vis qu’il cherchait quelque chose, je me rapprochais légèrement de lui en essayant de voir ce qu’il cherchait. Lorsqu’il le trouva, j’haussais un sourcil interrogateur tout en essayant de comprendre ce que ce stylo avait de si fantastique.

-Pour ce qui est de mes connaissances, comme ton frère j'ai sauté plusieurs classe et j'ai étudier dans des écoles d’ingénierie mécanique et technologique. Cependant, je ne me suis pas brider à cela j'ai également étudier la rhétorique et la philosophie, deux matière au combien importante pour développé l'intelligence n'est-ce pas? Ensuite après avoir fuit avec mes parents je suis tomber sur deux âmes qui m'ont instruit dans ses domaines. Et le reste c'est des découverte personnelles à base de tâtonnement. Par exemple ce stylo à une utilité toute relative qu'on ne lui soupçonnerais pas, regarde.

- Tu as aussi grandi parmi les Âmes, formulais-je pour me faire à l’idée. Je croyais que je ne rencontrerais jamais quelqu’un qui aurait connu une vie semblable à la nôtre.

J’en étais tellement étonnée que je devais avoir un air émerveillé sur le visage. Ainsi, d’autres humains avaient grandis parmi elles. Nous n’étions pas le fruit d’une simple expérience comme j’avais fini par me le demander en apprenant la vérité. Je savais que nos parents nous aimaient réellement, mais cette idée était plutôt dirigé vers les Âmes qui au début voulaient les convaincre de les laisser pratiquer les insertions. Lorsqu’il me rejoignit et posa la pointe du stylo sur mon épaule, je n’eux pas le temps de m’écarter pour lui demander ce qu’il faisait que je reçus une décharge. J’avais déjà connu beaucoup plus douloureux et n’émis donc aucun cri à cause de cela, mais je me retournais en faisant pivoté d’un seul coup le tabouret et me serais bien levé pour lui piquer son joujou s’il ne s’était pas éloigné pour le ranger. Je me contentais donc de faire une mimique montrant que je le surveillais à partir de maintenant. Plus par défit de recommencer que pour autre chose. Les yeux étréci, je l’observais s’appuyer au bureau face à moi.

- Désolé, j'ai pas put m'empêcher de remarque que tu semble être déranger par ton épaule, normalement sa devrais aller mieux. Et ne t'inquiète pas je l'ai testé c'est sans danger. Pour les noms de mes parents je préférais ne pas en parler et surtout cela ne t'avancerais à rien ils avaient des noms tout à fait humain.

- Hm…, émis-je dubitative. Je connais bien plus agréable pour régler mon problème qu’une décharge. Pour t’es parents, je ne vais pas te forcer. Je risque moi-même de ne pas vouloir te dire certaines choses. En tout cas, n’utilise plus cette électrode sur moi. J’avais prévu des étirements pour le régler. Ça prend plus de temps, mais ça détend en même temps que cela soulage. Y a aussi les massages si tu veux m’aider.

Il m’observa un moment sans rien dire. Je ne savais pas du tout à quoi il pensait. Juste qu’il n’avait pas intérêt à recommencer s’il ne voulait pas que je planque son joujou. Il avait voulu me rassurer je suppose en me disant qu’il l’avait déjà testé. Etrangement, cette éventualité d’un danger potentiel ne m’avait même pas effleuré l’esprit. Surement par ce qu’il semblait très bien savoir ce qu’il faisait avec ces appareils. De plus il ne semblait pas avoir envie de me nuire. Plusieurs éléments aillant surement joué à cela. J’avais fini par retrouver mon aplomb au point que je commençais à chercher à le taquiner. Sauf qu’avec un esprit logique, il pouvait aussi ne pas du tout y réagir. Ça ne serait que plus intéressant de trouver jusqu’où je devrais aller pour trouver ce qui pouvait le mettre mal à l’aise.

- Je sais que ton frère à passer un moment seul dans la nature avant de me rencontrer et toi, comment t'en est-tu sortie? C'est une question qui me vient à l'esprit car même si aujourd'hui les humains s'entre aide certain n'aurais pas hésité à s'attaquer à une femme aussi belle que toi. Alors comment as-tu fais pour échapper à ce genre de problème?

Ah, heu… De quoi est-ce qu’il me parlait ? Là j’étais complètement perdu. Pourquoi des humains s’en prendraient à moi. Trente secondes, il avait fait allusion à mon physique. Ah oui, c’est vrai que les humains étaient capables de ce genre de choses. Ma fille, ça se voit gros comme une pastèque que tu n’as pas grandie parmi les humains. Entre ma vie parmi les Âmes et en solitaire, j’avais eu besoin de quelques secondes pour comprendre de quoi il parlait. La raison était toute simple cependant.

- Très simple. Je n’ai jamais rencontré d’humains avant de commencer à rencontrer les autres groupes et je n’ai jamais eu ce problème durant le peu de temps passé avec eux. Je ne reste jamais au même endroit plus de deux jours ce qui a du compliquer les rencontres. J’évitais aussi de croiser qui que ce soit quand j’étais en vadrouille. Les corbeaux ont des cris différents pour les humains et les Âmes, mais pas les loups donc j’en ai aussi peut-être évité comme cela. Après notre séparation, j’ai passé mon temps seule à essayer de survivre et comme rencontrer quelqu’un pouvait être risqué, je contournais ce risque quand cela arrivait. Rien de plus.

Oui, rien de très extraordinaire. J’étais loin d’être une combattante ou je ne sais quoi d’autre. Je me débrouiller en agilité et pouvait surement taper fort, mais rien de suffisant pour me débarrasser d’un homme. Surtout que je n’aimais pas du tout la violence. Si je l’utilisais, il fallait vraiment mis pousser. Entre tirer sur une Âme ou moi en cas de capture, le choix était déjà fait. S’était peut-être incompréhensible pour un humain, mais s’était comme cela que je réagissais. Les seuls pour qui je pouvais sortir les griffes sans ménagement, s’était mes proches.

- Si tu veux, on pourra faire un échange de connaissance. J’adore apprendre et comprendre. Même si je suis loin d’être calé sur le sujet ou aussi doué que la crevette, je peux essayer. En plus, ça pourrait être intéressant de comparé nos points de vue sur les sujets qu’on aborde. C’est comme cela qu’on arrive le mieux à avancer. Quand je bloque, rien ne vaut un point de vue extérieur pour m’aider. Tu penses quoi des Âmes ? En générale, ceux qui on eut au moins un parent Âme sont plutôt positif, mais il y a un certain degré de tolérance tout de même.

C O D A G E P A R @G A K I. S U R E P IC O D E

◗ groupe de castiel **John Keller**

Melicendre, source de surprise et de joie

Comme je le pensais si j'agit sur elle sans lui demander son avis cela ne lui plait pas. Bah en même temps qui aimerais-cela? Aucune personne saine d'esprit en tout cas. Et puis, se faire porter sans crier gare ainsi que subir une décharge électrique même mineur ne doit pas être très agréable . De même mes compliments semblais la gêné, et cela est plutôt surprenant. En général quand un homme complimente une femme celle-ci feint plus ou moins un air gêné, mais apprécie. De même, une femme ayant l'habitude d'être complimenter de la sorte semble beaucoup moins gênée par un tel compliment. Mais pour Mélicendre c'est différent, elle semble vraiment gênée et ne pas savoir comment réagir. Est'il possible qu'elle n'en ai jamais reçu? Hum, après réflexion c'est plausible les âmes ne prennent pas en compte le physique ou alors très peu, et si elle n'as pas rejoint de groupe durant un long moment c'est possible. Et bien, content d'être le premier à lui faire ce genre de compliment alors, car en plus il est parfaitement mérité.

De même, elle semble surprise que sa famille n'était pas la seule à avoir vécue avec des âmes. Plus tard j'y expliquerais que cela est plutôt courant mais que cela se termine toujours de la même façon soit une âme est inséré soit l'humain fuit. Le premier cas est le plus courant et les transplantations sont toujours effectuer avant la fin de l'adolescence. Sans mes parents prévenant je serais déjà une âme. Non pas que cela me dérange, mais en fait si, je n'ai rien contre les âmes cependant je préfère rester moi-même. Simple instinct de survie. Lorsque je m’excusa pour la décharge elle me prit la parole au risque de m'interrompre.

-Hm…. Je connais bien plus agréable pour régler mon problème qu’une décharge. Pour t’es parents, je ne vais pas te forcer. Je risque moi-même de ne pas vouloir te dire certaines choses. En tout cas, n’utilise plus cette électrode sur moi. J’avais prévu des étirements pour le régler. Ça prend plus de temps, mais ça détend en même temps que cela soulage. Y a aussi les massages si tu veux m’aider.

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Je termina cette phrase avec un sourire entendu essayant de détendre l'atmosphére. Après cela je la questionna sur sa façon de survivre dans la nature.

- Je sais que ton frère à passer un moment seul dans la nature avant de me rencontrer et toi, comment t'en est-tu sortie? C'est une question qui me vient à l'esprit car même si aujourd'hui les humains s'entre aide certain n'aurais pas hésité à s'attaquer à une femme aussi belle que toi. Alors comment as-tu fais pour échapper à ce genre de problème?

Et la je fut surprit, elle mit apparemment un moment à comprendre de quoi je voulais parler. Alors certes, elle à vécue loin des humains et ne semble pas consciente de son potentiels de séduction, mais à 24 ans être encore innocente au point d'ignorer ce que certaines personnes n’hésiterais pas à lui faire. Je suis sidérer. J'était vraiment en face d'une perle rare. Elle eu heureusement un déclic qu'elle n'aurait peut-être pas eu si je n'avais pas parler de cela. Et bien Max, ta soeur réserve bien des surprises.

- Très simple. Je n’ai jamais rencontré d’humains avant de commencer à rencontrer les autres groupes et je n’ai jamais eu ce problème durant le peu de temps passé avec eux. Je ne reste jamais au même endroit plus de deux jours ce qui a du compliquer les rencontres. J’évitais aussi de croiser qui que ce soit quand j’étais en vadrouille. Les corbeaux ont des cris différents pour les humains et les Âmes, mais pas les loups donc j’en ai aussi peut-être évité comme cela. Après notre séparation, j’ai passé mon temps seule à essayer de survivre et comme rencontrer quelqu’un pouvait être risqué, je contournais ce risque quand cela arrivait. Rien de plus.

Ceci est plus compréhensible, mais quand même mère nature à fournit à l'homme et la femme de quoi se reproduire et l'instinct de le faire. Je veux bien qu'elle soit tardive mais quand même elle doit être consciente des envies que peuvent lui fournir son corps non?Enfin...elle changea complètement de sujet. Elle est doué pour sauté du coq à l'âne , mais bon je ne suis pas mieux loti à propos de cela.

-Si tu veux, on pourra faire un échange de connaissance. J’adore apprendre et comprendre. Même si je suis loin d’être calé sur le sujet ou aussi doué que la crevette, je peux essayer. En plus, ça pourrait être intéressant de comparé nos points de vue sur les sujets qu’on aborde. C’est comme cela qu’on arrive le mieux à avancer. Quand je bloque, rien ne vaut un point de vue extérieur pour m’aider. Tu penses quoi des Âmes ? En générale, ceux qui on eut au moins un parent Âme sont plutôt positif, mais il y a un certain degré de tolérance tout de même.

Eh bien elle n'y vas pas par 4 chemins, j'aime cela et je ne put retenir un énième sourire, cela aussi était un chez elle, je ne sourit que rarement et encore moins autant de fois en un si petit laps de temps. vraiment je l'apprécie cette fille, bon les filles que j'apprécie sont plutôt légions , mais en générale c'est pour leurs physique dans le cas de Mel c'est pour ce qu'elle est, sont tout. Et c'est bien la première fois.

<< Et bien pour ce qu'il est du partage de connaissance je n'est rien contre. Après, reste à voir combien de temps tu prévois de rester ici et jusqu'à qu'elle point tu veux qu'on les partagent.
Ensuite, pour ce qui est des âmes tu as raison en ce qui me concerne. Je suis surement un utopiste mais je rêve d'un monde ou humains et âmes coexiste pacifiquement sans que l'un ne doive se cacher de l'autre. Pour cela, j'ai déjà une idée, mais encore faut'il qu'elle soit adopté par les deux camps et il faut également que je finissent ce sur quoi je travaille depuis maintenant 1 ans et demi.>>

J'en avais dit bien plus que ce que j'avais l'habitude de dire, à vrai dire seules deux personnes sont au courant de mes avis, enfin trois maintenant Max, Mel et Castiel. Et encore ce dernier désapprouve ce que je tente de fabriquer.

Je fit craquer ma nuque et remarqua enfin que j'étais loin d'être présentable, je vais surement la laisser quelques minutes le temps de me rafraichir. Mais avant,j'eu envie de m'amuser un petit peu. Sans prevenir je l’attrapa et la porta comme une marié dans les temps ancien, et l'amena jusqu'as ma chambre où je la déposa sur le lit. Après quoi je ferma l'atelier à clef et me tourna vers elle un grand sourire au lèvres.

<< Je vais te demander de m'excuser cinq petites minutes, j'ai vraiment besoin de faire un minimum de toilette. Fait comme chez toi, tu peux fouiller partout sauf dans l'atelier, il as beaucoup de machines pouvant se trouver quelques peu dangereuse. Sinon la salle de bain reste ouverte et comme je te l'ai dit tout à l'heure tu peu m'y rejoindre>>

Je faisais ce petit speech tout en prenant rapidement des affaires dans mon armoires. Et une fois ce petit monologue terminer j'éclata de rire, je n'avais jamais été aussi fou qu'aujourd'hui, je dois vraiment manquer de sommeil...Je réglerais cela une fois qu'elle serais partie. Ceux sur quoi, j'entra dans la salle de bain en laissant la porte entre-ouverte en me demandant si elle allait la refermer.

◗ vagabond **Mélicendre Strauss**

« Que cela donne-t-il quand un génie rencontre une aventureuse ? »

- Et bien pour ce qui est du partage de connaissance je n’est rien contre. Après, reste à voir combien de temps tu prévois de rester ici et jusqu’à qu’elle point tu veux qu’on les partagent. Ensuite, pour ce qui est des âmes tu as raison en ce qui me concerne. Je suis surement un utopiste mais je rêve d’un monde ou humains et âmes coexiste pacifiquement sans que l’un ne doivent se cacher de l’autre. Pour cela, j’ai déjà une idée, mais encore faut-il qu’il soit adopté par les deux camps et il faut également que je finissent ce sur quoi je travaille depuis maintenant 1 an et demi.

Drôlement intéressant tout cela. J’avais l’intention de m’installer ici depuis que j’avais retrouvé Max et qu’il semblait y être parfaitement intégré. Encore plus maintenant car plus ça allait et plus je me rendais compte à quel point il l’était. De plus, l’homme qui me faisait face était des plus captivants. Il n’y avait pas à dire, passer du temps avec lui me changer vraiment de celui que je passais avec les Âmes. Les humains étaient plus spontané, moins mielleux que les Âmes. Pas étonnant que je ne sois jamais resté très longtemps avec l’une d’entre elles. J’avais besoin d’un peu plus que ce que les Âmes avaient pour tomber amoureuse. Je n’en étais pas encore là et cela ne resterais peut-être que de la curiosité et de l’intérêt, mais je m’amusais déjà bien plus. Un peu de répondant était ce qu’il me manquait. En plus, j’avais trouvé quelqu’un d’autre que Max pour parler de sciences et concepts. Assise sur mon tabouret, je l’écoutais en souriant car j’adorais tout ce qu’il disait. J’étais aussi très intriguée par son idée pour notre cohabitation avec les âmes.

- J’aimerais aussi que cela fonctionne. J’ai deux trois idées aussi, mais je ne sais pas encore comment trouver le juste milieu s’il y en a un pour que cela soit réaliste. Il faut obligatoirement un organisme vivant doué de penser pour qu’une âme puisse survivre en dehors d’Origine. Ça complique vraiment les choses vus que jusqu’à ce qu’on découvre que l’on se trompe, l’homme est le seul sur cette planète à avoir suffisamment de capacité cognitive pour cela. Si tu veux, je peux peut-être t’aider. Toi tu as la science ingénierie et moi biologique. Je ne sais pas si les humains de ce groupe ont quelqu’un sachant pratiquer une insertion ou une délivrance, mais moi je sais comment procéder. Ça pourrait être utile, dis-je en haussant les épaules.

Mon cerveau commençait déjà à tourner à plein régime pour essayer de comprendre en observant ce qui nous entourait quelle idée avait germé dans ce cerveau bien rempli. Il travaillait sur un générateur à plasma. C’est truc là pouvait fournir une quantité d’énergie non négligeable à condition de savoir le manipuler. S’était loin d’être le genre de chose stable. Il y avait aussi la batterie à photon et plein d’autres choses que je ne connaissais pas. Ça avait d’ailleurs tendance à me frustrer de ne pas comprendre ce que je regardais. J’avais parlé des besoins des âmes pour survivre, mais il y avait aussi un petit détaille qui me poserait toujours problème. J’avais une notion bien différente des âmes sur l’insertion et ce depuis toujours. Je le savais parfaitement. J’évitais même d’en parler avec mes parents pour ne pas les blesser. S’ils comprenaient mon point de vue, je n’étais pas sûr qu’ils le supportent. Hors, il m’était impensable de leur faire du mal. Même si l’on découvrait que d’autres organismes de cette planète avaient les capacités de devenir des hôtes, je ne me voyais pas échanger nos vies contre les leurs. Cela reviendrait à filer le bébé à une autre espèce et cette idée me révoltait. Il fallait vraiment trouver autre chose. Le problème des idées que j’avais étaient que le nombre d’hôtes pour les âmes seraient certainement insuffisant à leur goût. J’avais une autre idée pour l’augmenter, mais la s’était à moi que cela posait problème.

- Je ne sais pas vraiment combien de temps je vais rester ici avant de repartir. Ça dépend du temps que va mettre Castiel pour rentrer avec l’équipe. Je dois voir deux trois petites choses avec lui. Après je sortirais surement un moment, mais j’ai prévu de revenir. Je dois régler certaines choses à l’extérieur avant de poser mes bagages. Maintenant que j’ai retrouvé Max, je n’ai pas l’intention de rester loin de lui bien longtemps. On aura donc tout le temps de parler à ce moment-là.

Sans me prévenir, il me rejoignit et me pris dans ces bras. Qu’est ce qu’il fabriquait ? Je ne pus retenir un « hé » et le fusillait du regard en me tenant sur mes gardes. Un léger sourire en coin resta tout de même incrusté à mes lèvres. Il se demandait comment j’avais fait pour ne pas avoir de problème avec les humains. Je crois bien que j’aurais très bien pu en avoir si je n’avais pas été aussi méfiante. Oui, la seule chose qui avait dû m’éviter les ennuis avait été mon habilité à repérer toute personne s’approchant de moi. J’étais incapable de pensée sérieusement qu’il pouvait être une menace, mais je ne savais d’autant moins ce qu’il lui prenait de faire cela. Un jeu ? Lorsqu’il me posa sur le lit, je m’assise en tailleur en me demandant ce qu’il pouvait bien avoir dans le crâne. Oui, très probablement un jeu vu son sourire après avoir refermé son atelier à clef.

- Je vais te demander de m’excuser cinq petites minutes, j’ai vraiment besoin de faire un minimum de toilette. Fait comme chez toi, tu peux fouiller partout sauf dans l’atelier, il as beaucoup de machines pouvant se trouver quelques peu dangereuse. Sinon la salle de bain reste ouverte et comme je te l’ai dit tout à l’heure tu peux m’y rejoindre.

Je l’observais récupérer ces affaires incapable d’en croire mes oreilles. Il avait vraiment dit ça sérieusement ou il continuait à me taquiner ? Je n’en savais rien du tout, mais j’étais de plus en plus gagné par l’amusement. Après avoir cligné des yeux deux fois avec un immense sourire incrédule sur le visage, je me mis à rire. J’avais droit de fouiller ? Je me laisserais bien prendre au mot rien que pour voir ça réaction lorsqu’il verrait que c’est ce que j’avais fait. J’éclatais de rire en voyant qu’il avait laissé entre ouverte la porte, me laissant tomber à la renverse sur le lit. Je n’en croyais pas mes yeux. S’était bien la première fois que quelqu’un se comportait comme cela. Mes seuls petits amis avaient été des Âmes et ils n’avaient jamais été aussi provocateurs et direct. J’étais scotché, aux anges et n’arrivait pas à y croire.

Je n’avais qu’une envie, courir voir Kris pour en parler avec elle. Et oui, je suis une fille et on passe notre temps à parler de ce genre de choses entre nous. Kris était ma meilleure amie et s’était bien la seule à qui j’envisageais d’en parler, mais pour le moment… Me levant, je fis le tour de la pièce, ce qui fut rapide vu sa taille, jusqu’à arriver devant la porte de la salle de bain. Me laissant glisser contre le mure pour m’assoir par terre, j’entre ouvris un peu plus la porte pour pouvoir lui parler pendant qu’il prenait sa douche.

- Il en faut plus pour que je tombe dans les bras d’un homme, le taquinais-je. Tu es pas mal, intelligent, t’es occupé de mon petit frère, mais je n’écarte pas les cuisses aussi facilement, le prévins-je sur un ton amusé. En plus, j’ai déjà pris ma douche.

Je ne savais pas du tout ce qu’il avait dans le crâne et encore moins comment le savoir, mais je t’entais le coup. S’il ne s’agissait que d’un jeu, je voulais le savoir rapidement. Je n’avais pas le temps de tourner autour du pot. Comme il était humain et qu’il ne semblait pas être choqué facilement, je m’étais même autorisé la seconde phrase que je n’aurais JAMAIS pu dire à une Âme. Je n’arrivais pas moi-même à croire que j’avais osé dire cela, mais je m’en fichais. J’avais juste envie de m’amuser un peu. Je n’étais même pas sur de refuser s’il continuait à me provoquer, mais je ne le prendrais pas au sérieux. Au moins, je saurais ce qu’il en serait ainsi et pouvait même passer un peu de bon temps. Ce n’était pas vraiment mon truc les coups d’une nuit, mais là je voyais plus les choses comme un jeu. S’était vraiment bizarre. Je n’avais jamais rencontré quelqu’un qui me faisait cet effet. En générale, j’étais sur la défensive pendant un moment alors que là s’était naturel. Trop étrange pour mon cerveau de demoiselle bien élevé qui avait grandi parmi les Âmes avant de vivre isolé. Je ne comprenais pas du tout pourquoi je me comportais comme ça. L’entendant approcher, je me décalais pour ne pas être dans son chemin quand il voudrait sortir et levait les yeux vers lui, curieuse de voir sa réaction.

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◗ groupe de castiel **John Keller**

Melicendre, encore et toujours une amusante compagnie

Mon idée sur une cohabitation pacifique et égale avec les âme semblais la captiver au plus au point. Cependant, je n'était pas enclin à la partager, j'avais prévenue Castiel et il n'était pas pour, pour diverses raison, et si je l'avais mit au courant c'est parce que, je voulais qu'au moins une personne soit au courant de ce que je faisais en cas de problème et j'avais choisis Castiel car c'est lui qui dirigeait l'endroit. Pour Mel je me montre direct et sans détours.

-Désolé de te dire cela, mais je ne tien pas à partager mon idée pour l'instant Castiel est le seul au courant et il n'aime pas beaucoup mon idée. Une fois que mes recherches seront terminer je la dévoilerais à tout le monde en attendant, je ne te la confirais pas à moins que notre situation évolue, et on n'en est pas encore là je pense. Quand à savoir pratiquer ses operations j'ai également fabriquer une machine capable de le faire, du moins en théorie ils n'ont jamais voulu me la laisser tester. En dehors de cela je ne sais pas si on as quelqu'un capable de le faire ici. A vrai dire je ne discute qu'avec 2-3 personnes, les autres se contente de me donner ou de me demander ce qu'ils ont besoin. Je suis plutôt excentrique vois-tu.

Elle expliqua ensuite qu'elle comptait s'installer ici dès qu'elle aurait réglé quelques affaires personnelles. L'idées qu'elle ressorte me déplut fortement, je ne sais pas pour quel raison.

-Je vois , effectivement on auras plus de temps quand tu reviendras. Mais fait moi savoir quand tu partiras, je te fournirais deux trois trucs intéressant ou peut-être vais-je t'accompagner si tu n'as rien contre j'ai quelques objet à récupéré à l'extérieur et je doute que les éclaireurs sachant où trouver ce dont j'ai besoin...

Oui, je lui proposais de l'accompagner, sa avait été spontanée et totalement irréfléchis...Je n'avais juste pas envie qu'elle aille dehors sans quelqu'un de sur pour l'accompagner. Et sur le coup, je n'ai trouver que moi. Moi-même je ne comprend pas pourquoi je réagit comme cela. Juste après cela, je l’attrape et la met sur le lit avant de fermer mon atelier à clef. Cette surprise sembla lui plaire bien qu'elle émit un protesta, surement pour la forme vu le sourire en coin qu'elle avait garder durant le voyage.

Après quoi je prit des affaires propres, avec un discour mi-sérieux mi-joueur. La proposition est en fait un piège, si elle accepte elle aurait un coup d'une nuit et il n'y aurais rien d'autre, sinon cela me montrerais qu'elle est une femme sérieuse et j'aurais peut-être envie d'allez plus loin avec elle. Car pendant, tout mon cinéma je m'était rendu compte que je la trouvais vraiment plaisante et que j'avais envisager une possible relation qui viendrais peut-être avec le temps. Ou ne viendrais, mais au moins elle aurait une chance sur ce tableau, chance qu'une femme n'avais eu jusque là. J'avais passer trop de temps seul ou à courir pour me poser. Mes histoires n'avais rarement durer que plus d'une nuit ou alors n’était que des relation charnelle dénuer de sentiments. Et n'allez pas croire que je suis un bourreau des cœur ses relations avais toujours été vu de la même manière pour les deux partis.

Enfin bref, après être partie à la douche en laissant la porte entre-ouverte. Je n'eu aucune réponse pendant un moment peut-être profitait'elle de ce temps pour fouiller comme je le lui avais autoriser. Puis, alors que je sortais de la douche j'entendis sa voix de l'autre coter de la porte. Et ce qu'elle dit me plus.

-Il en faut plus pour que je tombe dans les bras d’un homme, le taquinais-je. Tu es pas mal, intelligent, t’es occupé de mon petit frère, mais je n’écarte pas les cuisses aussi facilement, le prévins-je sur un ton amusé. En plus, j’ai déjà pris ma douche.

Je ne pus m'empêcher de rire, sa façon de répondre étais très proche de la mienne pour le coup. Et je trouvais cela très pertinent et amusant. Je ne repondit pas, encore amuser par sa réponse et finit de m'habillé avant de rejoindre la chambre.

<< -Très belle réponse miss, apparemment tu as comprit que c'était un test. Je voulais vérifier si mon calcul était bon. Si tu étais rentré tu aurais perdu. Mais tu est rester dehors ce qui me fait dire que tu est le genre de fille avec qui on peu avoir une relation sérieuse. Et j'avoue que malgré l’intérêt que tu as sus suscité chez moi, car je l'avoue tu est quelqu'un avec qui je me sens à l'aise et je te trouve très intéressante enfin passons. Je disais donc si tu été rentré, j'aurais surement pas eu envie de te revoir après notre discutions d'aujourd'hui.

Encore désolé de t'avoir imposé cela, mais je préfère savoir avec qui je parle, si tu vois ce que je veux dire.>>

Je m'assis ensuite sur le lit et l'invita à me rejoindre.

◗ vagabond **Mélicendre Strauss**

« Que cela donne-t-il quand un génie rencontre une aventureuse ? »

-Désolé de te dire cela, mais je ne tien pas à partager mon idée pour l'instant Castiel est le seul au courant et il n'aime pas beaucoup mon idée. Une fois que mes recherches seront terminer je la dévoilerais à tout le monde en attendant, je ne te la confirais pas à moins que notre situation évolue, et on n'en est pas encore là je pense. Quand à savoir pratiquer ses operations j'ai également fabriquer une machine capable de le faire, du moins en théorie ils n'ont jamais voulu me la laisser tester. En dehors de cela je ne sais pas si on as quelqu'un capable de le faire ici. A vrai dire je ne discute qu'avec 2-3 personnes, les autres se contente de me donner ou de me demander ce qu'ils ont besoin. Je suis plutôt excentrique vois-tu.

Je levais un sourcil suspicieux en entendant sa réponse. Alors comme cela on ne voulait pas partager ces recherches… Bien, j’allais peut-être faire un peu de rétention d’informations de mon côté. Quand il aurait besoin d’informations, j’allais peut-être jouer un peu avant de lui dire. Quand il avait parlé de jusqu’où j’étais prête à partager, s’était apparemment lui qui garderait des choses sur son travail pour lui. Très bien. De toute façon, je finirais bien par le savoir, mais j’avais bien l’intention de le savoir avant les autres. J’eu un frisson qui me parcourra tout le corps en entendant parler d’une machine capable de faire le transfert d’une Âme. Les ingénieurs et leurs joujoux… Ils finissaient toujours par en oublier le côté humain si je puis dire. Même si sa machine était capable de faire l’ouverture bien mieux que moi et le soin par la suite, il y avait un petit détail qui manquait.

Les Âmes réagissaient aux émotions. Positive, elles venaient toutes seules dans votre main. Négative, elles s’accrochaient de toutes leurs forces à leur hôte. Certaines allaient même jusqu’à causer leur propre mort en tuant leur hôte quand elles savaient qu’on allait essayer de les en retirer de force. Je ne savais pas du tout comment elles pourraient réagir avec un appareil. En tout cas, pas question que Strauss passe entre ces griffes. Il n’aura qu’à l’essayer avec les Traqueurs que je ramènerais en cherchant un nouveau corps pour Strauss et là encore, ce n’était pas certain. J’allais surement surveiller de près l’opération et reprendre la main si besoin était. Puisqu’il avait fait allusion au temps que je resterais dans les environs, je lui répondis sans hésiter que j’allais bientôt repartir tout en restant vague sur la question du pourquoi. Lui avait des secrets sur ces travaux, moi sur ceux que je protège.

-Je vois, effectivement on auras plus de temps quand tu reviendras. Mais fait moi savoir quand tu partiras, je te fournirais deux trois trucs intéressant ou peut-être vais-je t'accompagner si tu n'as rien contre j'ai quelques objet à récupéré à l'extérieur et je doute que les éclaireurs sachant où trouver ce dont j'ai besoin...

Je pinçais mes lèvres en entendant sa proposition. Je n’avais pas du tout prévu d’avoir quelqu’un avec moi quand je repartirais. Il s’agissait d’une affaire de famille. Pas question que quelqu’un en dehors y mette son nez. En fait, même les intéressés n’auraient pas leur mot à dire. Max, par ce que je ne voulais pas courir le risque de le perdre de nouveau. Kris, elle ne faisait techniquement pas partie de la famille, mais était concerné. J’aurais peut-être dit oui, mais je sentais qu’au final, je n’accepterais personne. Ça allait être dangereux. Il n’y avait aucun doute là-dessus. Même avec la coopération complète de Strauss, ça ne serait pas simple. Ajouter à cela le risque déjà encouru de se balader parmi des Âmes lorsque vous êtes humains et s’est limite une mission impossible. Sauf que je n’allais pas pour autant attendre.

- C’est très gentil, mais je dois vraiment m’en occuper toute seule. Si tu as une liste, je peux peut-être y jeter un coup d’œil pour te dire si je peux m’en charger. Ça t’évitera de sortir. Autant qu’il n’y en ait qu’un qui sorte si c’est possible. De toute façon, cela ne devrait pas prendre longtemps.

Oui, si cela durait plus d’une journée, s’était que quelque chose avait mal tourné. Comme je n’avais pas du tout l’intention que cela soit le cas et que j’étais bien trop heureuse du fait d’avoir enfin retrouvé mes deux frères, je gardais un sourire optimiste pour la suite des évènements. Tout allait comme sur des roulettes ces derniers temps. Il n’y avait pas de raison que cela se passe mal. Sans me prévenir, il m’entraina comme une marier dans sa chambre avant de me déposer sur le lit pour refermer son atelier. Amusé et à la fois interogative sur ce qui lui prenait, j’avais protessé tout en me laissant faire et écoutais maintenant ce qu’il me racontait sans vraiment y croire. Les humains se comportaient vraiment comme ça ? Moi, j’avais beau l’être, j’étais loin d’aller me frotter à quelqu’un aussi facilement. Assise contre le mur qui me séparait de la salle de bain, je lui fis donc savoir ce que je pensais de cela tout en en plaisantant. Je faisais même exprès de faire des allusion comme quoi il était loin d’être le plus bel homme que j’avais vu, alors que je le faisais facilement troné dans le haut du classement rien que pour voir s’il y ferait attention ou pas. En fonction de ces réactions, je pouvais avoir une petite idée plus précise de qui il était.

-Il en faut plus pour que je tombe dans les bras d’un homme. Tu es pas mal, intelligent, t’es occupé de mon petit frère, mais je n’écarte pas les cuisses aussi facilement. En plus, j’ai déjà pris ma douche.

Quand je l’entendis rire, mon sourire s’élargie de plus bel. Me décalant pour le laisser passer en entendant qu’il arrivait, je levais les yeux vers lui pour voir son visage lorsqu’il m’aurait rejoint. Il avait le sens de l’humour et semblait joueur. Rien que cela, j’adorais. Ajoutais y le reste et il y avait de grande chance que je m’autorise à tenter ma chance quand j’aurais fini de m’occuper des derniers petits détails. Plus qu’à voir s’il allait vouloir pousser le jeu plus loin ou s’il allait se montrer sérieux.

-Très belle réponse miss, apparemment tu as comprit que c'était un test. Je voulais vérifier si mon calcul était bon. Si tu étais rentré tu aurais perdu. Mais tu es resté dehors ce qui me fait dire que tu est le genre de fille avec qui on peu avoir une relation sérieux. Et j'avoue que malgré l’intérêt que tu as sus suscité chez moi, car je l'avoue tu est quelqu'un avec qui je me sens à l'aise et je te trouve très intéressante enfin passons. Je disais donc si tu été rentré, j'aurais surement pas eu envie de te revoir après notre discutions d'aujourd'hui. Encore désolé de t'avoir imposé cela, mais je préfère savoir avec qui je parle, si tu vois ce que je veux dire.

Tient, je n’étais pas la seule à jauger ceux que je rencontrais. Je n’avais pas vraiment remarqué qu’il s’agissait d’un test également pour lui, mais j’étais bien contente qu’on soit sur la même longueur d’onde. Le regardant s’asseoir sur le lit, je souris en le voyant m’y invité et lui dit ce que j’en pensais avant de l’y rejoindre. Contrairement à mon habitude, lui était des plus direct et semblait dire clairement ce qu'il pensait. C'était peut-être cela qui me faisait agir un peu plus comme cela. En générale, j'avais tendance à adapter mon niveau de franchise ou autre à ce que la personne en face de moi faisait. J'évitais comme cela tous les problèmes pouvant découler d'une trop grande franchise ou affection. Avant, je n'étais pas du tout comme cela et agissait toujours de la même manière avec les autres, mais j'avais fini par agir ainsi quand les traqueurs avaient commencé à nous tenir à l'oeil. Je savais très bien qu'à la moindre erreur, contrairement à Max qui était encore assez jeune pour être sous la protection de mes parents, je risquais très gros.

- On dirait que l’on est sur la même longueur d’onde là-dessus. Moi j’attendais de voir si tu allais répondre à ma provocation en cherchant à me mettre dans ton lit. Je n’aurais pas dit non, mais je ne t’aurais pas pris au sérieux après.

Regardant dehors, j’essayais de déterminait leur qu’il était. J’avais prévu d’aller rejoindre Kris et Max à midi pour le déjeuner. J’avais beau aimer sa compagnie, j’avais bien l’intention de ne pas pour autant délaisser mon frère et mon amie pour autant. On ne pouvait déjà pas se voir quand on le souhaitait à cause de ces corvées et des cours de Max. Je n’avais donc pas l’intention de ne pas profiter d’eux quand je le pouvais.

- Et pour ta proposition de me fournir quelque chose pour la route, je ne pense pas en avoir besoin. Cela durera que le temps d’un aller-retour environ. Je pense pouvoir retrouver facilement le chemin maintenant que je l’ai fait et je trouverais sur place ce dont j’ai besoin.

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◗ groupe de castiel **John Keller**

Melicendre, encore et toujours une amusante compagnie

Le fait qu'elle refuse mon aide me déplut quelque peu Mais je ne pouvais rien rétorquer,c'étais son choix. Quand à la liste hum nan cela ne ferrais que la ralentir et quoiqu'elle disent je sortirais le même jour qu'elle. Je sais où se trouve le matériel dont j'ai besoin et même si j'y disais ce dont j'ai besoin il y à peu de chance qu'elle sache de quoi il s'agit. Et j'y donnerais également un transmetteur, elle n'aura qu'à m'appeler si elle en as besoin.

Ce fut ce à quoi je pensais en étant sous la douche, douche que j'écourta rapidement et qui se solda par un fou rire suite à la réplique de la belle. Sa compagnie m'est vraiment agréable j'espère qu'elle viendras me voir souvent, sinon et bien je m'arrangerais pour allez la voir...les gens pour qui je me déplace se comptent sur les doigts d'une main. Autant dire qu'il n'y en as pas beaucoup, y as le doc, castiel et encore si il me demande, Max et Kristal.

Je fut cependant heureux de voir qu'elle n'ait pas mal prit mon test, elle même aimé jauger les gens avec qui elle s'entretient en ajoutant qu'elle même me jaugeait et que si je lui avait proposer une partie de jambe en l'air elle aurait accepter mais que tout comme moi elle n'aurais pas chercher plus loin. Je ne put m'empêcher de répliquer sur un ton blagueur.

Vu qu'on est aussi d'accord sur la partie de jambe en l'air qu'est-ce qu'on attend?

Je rit juste après de bon coeur, tout autant que bien lui montrer que c'était une plaisanterie.Ah cette fille est vraiment une aubaine. je n'avais jamais autant rit, même parmi les âmes...enfin bon ce n'est pas contre eux, mais leurs sens de l'humour est un peu plat, on ne pas tout avoir...quoi que, en fait si on peut tout avoir la preuve en est que j'existe. Toujours est'il qu'elle finit par revenir sur le sujet qui me venais à coeur.

-Et pour ta proposition de me fournir quelque chose pour la route, je ne pense pas en avoir besoin. Cela durera que le temps d’un aller-retour environ. Je pense pouvoir retrouver facilement le chemin maintenant que je l’ai fait et je trouverais sur place ce dont j’ai besoin.

- Eh bien à vrai dire, même si tu ne le veux pas je pense quand même t'accompagner, ne t’énerve pas, j'ai bien comprit que tu ne veux pas que je t'accompagne, je pensais faire une partie du trajet avec toi. Si je ne me trompe pas tu va te diriger vers une ville. C'est exactement le genre d'endroit où je peux trouver ce qu'il me faut. Je ne sais pas ce que tu cherche à cacher, mais je me disais qu'on pourrais faire l'allez ensemble et on se sépare après. Et pour la liste laisse tomber, si tu compte faire l'allez-retour cela te ferrais perdre du temps. Donc on sort ensemble, on se sépare on fait ce qu'on as à faire, et après soit on rentre chacun de son côte soit on rentre ensemble. Et je te passerais également un transpondeur localisateur. Si t'as besoin d'aide t'auras juste à m'appelle et je viendrais. Qu'en dit-tu? Et si tu veux savoir pourquoi j'insiste c'est parce que mon entourage est assez limité alors te perdre me gênerais quelques peu.

Oui, pour une fois j'étais têtu, mais en même temps c'est la première fois que j'envisage de construire quelques chose avec quelqu'un alors non je n'étais pas vraiment emballer à ce qu'elle courrent des risques tout de suite..[/color]

◗ vagabond **Mélicendre Strauss**

« Que cela donne-t-il quand un génie rencontre une aventureuse ? »

- Vu qu'on est aussi d'accord sur la partie de jambe en l'air qu'est-ce qu'on attend?

Il me l’avait demandé sur le ton de la plaisanterie et avait ri de bon cœur juste après. Je ne pus m’empêcher de rire amusé à ce commentaire. Il n’était finalement pas si difficile à comprendre. Quoi que j’attendais encore avant de me prononcer définitivement à ce sujet. N’aillant pas encore répondu à sa proposition de me fournir en matériel, je l’informais sur le sujet. J’avais tendance à répondre à toutes les questions ou autres que l’on me faisait. C’était comme cela et si je ne le faisais pas, s’était que je ne voulais pas aborder la question. J’aurais justement peut-être dû ne pas réaborder le sujet vu la réponse qui m’attendait.

-Et pour ta proposition de me fournir quelque chose pour la route, je ne pense pas en avoir besoin. Cela durera que le temps d’un aller-retour environ. Je pense pouvoir retrouver facilement le chemin maintenant que je l’ai fait et je trouverais sur place ce dont j’ai besoin.

- Eh bien à vrai dire, même si tu ne le veux pas je pense quand même t'accompagner, ne t’énerve pas, j'ai bien comprit que tu ne veux pas que je t'accompagne, je pensais faire une partie du trajet avec toi.

J’avais immédiatement froncé les sourcils quand je l’entendis me dire qu’il m’accompagnerait quoi que je dise. Il est adorable de vouloir veiller sur moi, mais je ne voulais que personne soit là et encore moins soit au courant. Les seuls qu’il le serait seront Kris et Max. Et encore, je n’étais pas sur de le dire à la crevette au cas où cela ne se passerait pas comme prévu. Il n’y avait pas de doute pour moi que ce n’était que pour s’assurer que rien ne m’arrive. Je ne voyais pas d’autre raison en voyant comment il se comportait avec moi en ce moment et ce qu’il avait fait pour Maxim. Cependant, il en était hors de question. Comme il m’avait dit de ne pas m’énerver, je me contentais de l’écouter argumenter jusqu’au bout, mais je ne me départis pas pour autant de mon air renfrogné.

- Si je ne me trompe pas tu va te diriger vers une ville. C'est exactement le genre d'endroit où je peux trouver ce qu'il me faut. Je ne sais pas ce que tu cherche à cacher, mais je me disais qu'on pourrais faire l'allez ensemble et on se sépare après. Et pour la liste laisse tomber, si tu compte faire l'allez-retour cela te ferrais perdre du temps. Donc on sort ensemble, on se sépare on fait ce qu'on as à faire, et après soit on rentre chacun de son côte soit on rentre ensemble. Et je te passerais également un transpondeur localisateur. Si t'as besoin d'aide t'auras juste à m'appelle et je viendrais. Qu'en dit-tu? Et si tu veux savoir pourquoi j'insiste c'est parce que mon entourage est assez limité alors te perdre me gênerais quelques peu.

Je restais silencieuse un bon moment, réfléchissant à tout ce qu’il venait de me dire. Un transpondeur localisateur ? Pas question. Je ne voulais pas du tout qu’il sache où je serais. Le transpondeur tout cours, je pouvais encore l’accepter. Je comprenais qu’il ait besoin d’être rassuré si s’est connaissance était limité, mais j’étais prête qu’à un certain niveau de concession. Soupirant, je finis par me décider sur lesquelles j’allais faire. Bon sang, j’avais le chic pour m’entourer des hommes protecteur et tête de mule… Entre mes frangins et lui, j’avais droit aux quatre mousquetaires réuni.

- … Je te préviens tout de suite que ce que je vais dire est non négociable. Il faudra te faire une raison. OK pour que l’on fasse l’aller ensemble, mais pas le retour.

J’étais d’accord pour l’aller uniquement par ce que j’allais le quitter dans une autre ville que celle où j’allais. Je savais que je ne me montrais pas vraiment très coopérative ou qu’il pouvait croire que je ne lui faisais pas confiance, mais pour ça, j’étais prête à ce qu’on me voit comme la pire des filles. Ce n’était pas un manque de confiance à mes yeux. Je voulais juste régler ça toute seule. Il s’inquiétait pour moi, ba s’était également vrai pour ce qui me concernait. Je ne voulais pas qu’il soit là alors que j’allais être dans une situation très risqué. Il allait surement se douter que je ne resterais pas là où nous nous séparerons vu à quel point j’insistais sur le fait de ne pas vouloir être localisé, mais je m’en moquais. Il allait devoir faire avec. Mes frangins étaient de véritables tête de mule et bien j’étais comme eux voir pire quand je m’y mettais. C’était l’une des raisons qui faisait que j’arrivais relativement facilement à avoir le dernier mot avec Max.

- Le transpondeur également, mais un qui ne localise pas. Au besoin je t’indiquerais où je suis si j’ai vraiment besoin de toi. Si je ne le peux pas, ce sera que de toute façon tu n’aurais rien pu faire. Et n’essaye pas de m’en refiler un qui indiquera ma position malgré moi. Je demanderais à Maxim de vérifier et si j’ai le moindre doute, je m’en débarrasserais dès que nous serons séparés. Ne cherche pas non plus à me suivre. Je le saurais tout de suite. Ce n’est pas pour rien que je n’ai jamais croiser d’humain avant de le vouloir. Pour ton matériel, c’est toi qui vois.

Je savais parfaitement que je devais être loin d’être agréable contrairement à jusqu’à maintenant. Je n’aimais pas ça, mais je devais me montrer ferme si je voulais qu’il ne me prenne pas à la légère. Mon discours terminer, j’attendis sa réponse et dès que je lus et je changeais complètement d’attitude pour retrouver celle que j’avais eu jusqu’à maintenant. Me laissant aller sur le lit, je repris sur un ton bien plus léger.

- Je ne veux pas que tu me crois aveugle à ce que tu me dis, mais bon… Il y a des choses que l’on doit faire seul. Et puis toi aussi tu as tes secrets, dis-je en lui tirant la langue. Moi j’ai que lui. Enfin… Je crois. Si tu n’as rien de prévu après manger, je peux repasser. Kris est occupé pour la journée et Max sera à l’ ‘’école’’. Vous êtes tous les mêmes les mecs où c'est uniquement propre à ceux que je connais ce besoin d'avoir le dernier mot et de surprotéger, plaisantais-je.

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◗ groupe de castiel **John Keller**

Protection rapprocher.

Elle rit de bon cœur elle aussi quand j'aborda une possible partie de jambes en l'air, cela me rassura un peu elle avait compris que je plaisantais. Par contre mon monologue sur la sortit qu'elle allait faire; oui elle la ferrait je n'ai même pas essayer de discuter ce point, je savais que c'était perdu d'avance; Je disais donc que cela lui déplus fortement, j'avais à peine commencer qu'elle fronçait les sourcils, aie...j'avais bien comprit que je devait la laisser géré seule ce qu'elle avait à faire, mais je ne pouvais pas la laisser sans protection, elle à certes survécu pendant des années seule dehors, mais à trop tenter le diable on finit par se brûler les ailes.

Plus j'avançais dans ma proposition, plus je la voyais se renfrogner...je ne sais pas ce qu'elle cache, mais pour qu'elle me fasse la tête à ce point alors que quelques minutes avant nous avons ri de bon coeur, c'est que c'est très important pour elle, je n’interférais pas. Elle ne dit rien pendant quelques instant qui semblais durer une éternité, c'est toujours comme cela quand on attend quelques chose de toute façon.

-… Je te préviens tout de suite que ce que je vais dire est non négociable. Il faudra te faire une raison. OK pour que l’on fasse l’aller ensemble, mais pas le retour.

Je m'en doutais impossible de gagner totalement contre elle, mais bon au moins elle semblait d'accord pour faire des concession. Je les attendis donc en silence.

-Le transpondeur également, mais un qui ne localise pas. Au besoin je t’indiquerais où je suis si j’ai vraiment besoin de toi. Si je ne le peux pas, ce sera que de toute façon tu n’aurais rien pu faire. Et n’essaye pas de m’en refiler un qui indiquera ma position malgré moi. Je demanderais à Maxim de vérifier et si j’ai le moindre doute, je m’en débarrasserais dès que nous serons séparés. Ne cherche pas non plus à me suivre. Je le saurais tout de suite. Ce n’est pas pour rien que je n’ai jamais croiser d’humain avant de le vouloir. Pour ton matériel, c’est toi qui vois.

Comme je m'y attendais elle mettait ses limites, cependant je m'attendais à plus que cela .La bonne nouvelle c'est qu'elle avait accepter le transpondeur, au moins je saurais la trouver si elle à besoin de moi, ou si elle disparaissait trop longtemps

Bon,et bien on vas faire comme tu as dit. Sache tout de même que je n'insisterais pas autant si il n'y avais que moi qui serais toucher. Ton frère m'en voudrais toute sa vie, si je ne faisais rien pour t'aider et te protégé. Et pense à max autant qu'as toi, tu est importante pour lui, il est important pour toi, et vous êtes tout les deux important pour moi j'ai deux raisons de te protégé. Et je dirais qu'il y en as une troisième.

Je la regarde quelques instant espérant lui faire comprendre que ce que j'allais dire

-La troisième raison c'est parce que j'aimerais voir si on peu construire quelques chose ensembles.

Je ne suis pas aller plus loin, espérant qu'elle comprenait. Je n'avais pas encore de véritable sentiments pour elle. Rien d'autre qu'une attirance profonde, mais c'était la première femme à attiré mon attention de la sorte. Alors autant tenter non?Enfin, si elle veux bien essayer. je laissa le sujet s'évaporé et elle reprit la parole..

-Je ne veux pas que tu me crois aveugle à ce que tu me dis, mais bon… Il y a des choses que l’on doit faire seul. Et puis toi aussi tu as tes secrets, dis-je en lui tirant la langue. Moi j’ai que lui. Enfin… Je crois. Si tu n’as rien de prévu après manger, je peux repasser. Kris est occupé pour la journée et Max sera à l’ ‘’école’’. Vous êtes tous les mêmes les mecs où c'est uniquement propre à ceux que je connais ce besoin d'avoir le dernier mot et de surprotéger, plaisantais-je.

Je sourit à la fin de sa tirade. C'est normal pour nous de protégé ceux qui nous sont cher..

-Mon secret n'en est pas un ma chère, c'est juste que tu me le demande à notre première rencontre et qu'on était encore entrain de se jauger l'un l'autre. Pour ce qui est de tes visites, comme pour ton frère ma porte t'est grande ouverte, passe quand tu veux, jour -nuit, peu m'importe, si tu vois ma porte fermer à clef c'est que je susi allez voir Castiel ou que je suis parti faire mes réserves* je désigne le petit frigo à côté de l'armoire. Et c'est normale qu'on soit tous pareil, on veux protégé les gens qui nous sont cher. Les êtres chers dont la présence nous est quasiment vital, ceux dont on ressent que leurs présence nous est vital.

Ayant soudainement envie de m'amuser un peu, je profita du fait qu'elle se soit allonger sur le lit pour ce faire. Je me met à cheval au dessus d'elle et la regarde en souriant, tout en bloquant ses mains. C'est fou, j'ai toujours envie de la taquiner dès que j'en ai l’occasion juste pour voir sa réaction. Et puis, elle semble très joueuse c'est peut-être cela qui me fait me comporter ainsi..

◗ vagabond **Mélicendre Strauss**

« Que cela donne-t-il quand un génie rencontre une aventureuse ? »

Il marqua un bon point en restant sage tout du long que dura ma réponse. Je faisais des concessions et ce n’était pas facile pour moi à cause du sujet concerné, mais je les faisais tout de même. Il fallait que je réapprenne à vivre en communauté et parmi cela on trouvait les concessions. Une des raisons qui m’avait fait pensée à ce dont j’avais parlé à Kris lorsque je m’installerais définitivement ici. Mes conditions établit ; soit ok pour faire un bout de chemin, un moyen de communication, mais qui ne me localiserait pas ; il accepta sans rechigner sur l’un des points abordé. Encore un bon point qui me fit commencer à arrêter d’être dure.

- Bon, et bien on vas faire comme tu as dit. Sache tout de même que je n'insisterais pas autant si il n'y avais que moi qui serais toucher. Ton frère m'en voudrais toute sa vie, si je ne faisais rien pour t'aider et te protégé. Et pense à max autant qu'as toi, tu es importante pour lui, il est important pour toi, et vous êtes tout les deux important pour moi j'ai deux raisons de te protégé. Et je dirais qu'il y en as une troisième.

Dès qu’il parla de Max, ma gorge se serra tout comme mon cœur. Je dû me faire violence et serrais les dents à m’en faire mal pour ne pas flancher. S’était un coup bas, mais je ne pensais pas qu’il l’ait fait pour me faire mal. Non, j’avais compris qu’il réagissait en premier par logique avant le cœur. Une chose très pratique qui permettrait en toute situation de trouver la bonne solution ou en tout cas parmi celles que l’on trouvait. J’étais capable de réagir également comme cela, mais très difficilement avec ceux qui m’était le plus cher. Là, j’avais besoin de claque de ce genre pour m’en souvenir. Oui, je ne pouvais pas me permettre de faire la moindre erreur, mais même sans en faire je pouvais me faire prendre. Il suffisait à un humain de mettre un pied dans une zone fréquenté par les âmes pour que le risque zéro soit inexistant. Hors, j’allais plus que simplement aller faire mes courses cette fois. J’allais carrément récupérer l’un d’entre eux pour le ramener parmi nous car il faisait également partie des miens et que je ne supportais plus d’en être éloigné. La vie m’avait privé de mes parents, s’éparé de mes frères. Je savais ne rien pouvoir faire pour mes parents, mais je m’étais battu jusqu’au bout pour les garçons et y étais presque. Je ne m’arrêterais que lorsque j’aurais réussi. John me regarda quelques secondes comme pour me faire comprendre qu’il y avait plus derrière ces paroles que ce qu’il avait juste énoncé avant de continuer. J’avais un petit doute sur cette troisième raison après cette pose, même si au début, j’avais été trop troublée par cette claque monumentale pour la percevoir.

-La troisième raison c'est parce que j'aimerais voir si on peu construire quelques chose ensembles.

Mon cerveau eu étrangement du mal à comprendre immédiatement toutes les implications que prenait en compte cette phrase. Plus je comprenais, plus je me calmais et paniquais à la fois. Il venait de mettre en quelques mots le bazar absolu dans mon crâne. Je n’avais pas le temps pour ça. Pas si cela devait me mettre des bâtons dans les roues sur le seul et unique objectif que comptait mon existence depuis ma fuite. Secouant la tête après une profonde inspiration, je repartis sur quelque chose que je maitrise d’avantage avec un ton plus léger et détendu après mettre laissé tomber en arrière sur le lit.

-Je ne veux pas que tu me crois aveugle à ce que tu me dis, mais bon… Il y a des choses que l’on doit faire seul. Et puis toi aussi tu as tes secrets, dis-je en lui tirant la langue. Moi j’ai que lui. Enfin… Je crois. Si tu n’as rien de prévu après manger, je peux repasser. Kris est occupé pour la journée et Max sera à l’ ‘’école’’. Vous êtes tous les mêmes les mecs où c'est uniquement propre à ceux que je connais ce besoin d'avoir le dernier mot et de surprotéger, plaisantais-je.

-Mon secret n'en est pas un ma chère, c'est juste que tu me le demande à notre première rencontre et qu'on était encore entrain de se jauger l'un l'autre. Pour ce qui est de tes visites, comme pour ton frère ma porte t'est grande ouverte, passe quand tu veux, jour -nuit, peu m'importe, si tu vois ma porte fermer à clef c'est que je suis allez voir Castiel ou que je suis parti faire mes réserves.

D’un mouvement de tête, il me désigna le frigo pour me faire comprendre de quoi il parlait. Pas étonnant qu’il en ait besoin. Si j’avais tout comprit, il ne sortait pas vraiment de son atelier ou de sa chambre. Il allait falloir lui faire prendre un peu l’air a cet homme. Ça lui ferait du bien et l’aiderait à progresser sur ces recherches. En tout cas, ça marchait pour moi. Je travaillais depuis toujours mieux dehors qu’enfermé. Restant silencieuse, j’écoutais jusqu’au bout ce qu’il avait à me dire tout en observant son dos. Je restais tout de même dubitative sur le sujet de sa petite rétention d’information. Il semblait tout de même plus enclin à m’en parler plus tard que lorsqu’il m’en avait parlé plus tôt.

- Et c'est normale qu'on soit tous pareil, on veux protégé les gens qui nous sont cher. Les êtres chers dont la présence nous est quasiment vital, ceux dont on ressent que leurs présence nous est vital.

Sans prévenir, il se retourna et je me retrouvais coincé sous lui. Les poignets bloqué, je ne pouvais plus vraiment faire de mouvement. Peut-être tenté de le frapper avec mes genoux ou de me dégager en me surélevant, mais je n’étais pas sûr d’y parvenir en un et n’en avait pas envi en deux. Non, il semblait être en train de jouer et je n’allais pas y dire non après ce passage turbulent. Il semblait tout content de son petit jeu avec le sourire qu’il me faisait. De mon côté, je le mettais aussi bien au défi d’aller plus loin en souriant qu’avec le regard que je lui jetais. Je n’aimais pas du tout être maintenu ainsi normalement. La raison ? Tout simplement parce que je n’aimais pas être bloquée et donc ne pas pouvoir réagir en cas de nécessité. J’avais passé les cinq dernières années à fuir, me cacher, jouer les fantômes pour ne pas me faire prendre. Etrangement là, malgré un petit malaise, j’arrivais à le laisser de côté et à privilégier le jeu qu’il m’offrait. Il pouvait me sortir que je ne lui faisais pas confiance pour ne pas lui dire la seule chose que je gardais pour moi, mais ce n’était pas le cas. Mon comportement actuel en était la preuve.

- Attention, je mors, dis-je après avoir bruyamment claqué des dents en faisant mine d’essayer de l’atteindre au visage alors que je savais très bien que je ne le pourrais pas.

Il voulait jouer. On allait jouer. Je n’allais pas m’écraser et devenir une petite chose timide à cause de sa provocation. Ce n’était plus dans mon caractère ne me taire ainsi depuis que je n’avais plus les Âmes sur le dos qui me surveillaient. Ce temps était révolu. Je savais parfaitement que j’avais rougi. Je le sentais très bien, mais je n’allais pas pour autant ne pas répondre. Tient et si je l’embêtais un peu. Quoi de mieux pour déstabiliser que de passer du coq à l’âne. En plus, j’allais avoir des renseignements sur des questions que je me posais au passage.

- Ton discourt sur ton petit secret à drôlement changer en une matinée, dis-je avec une voix de sous-entendu. Sans parler de ton besoin de me protéger…, dis-je avec un haussement d’épaules.

Bon je devrais peut-être arrêter d’aller par là. S’était une pente savonneuse que je ne maitriserais pas vraiment. Sauf qu’apparemment, j’étais lancé.

- Je crois que cela aurait été plus simple pour moi si tu n’avais réagi comme ça uniquement pour Max et par égo masculin. Là s’est… Plus compliqué. J’aurais préféré avoir plus de temps pour y réfléchir. Si je t’avais rencontré après mon retour, ça aurait été plus simple. En même temps, tu n’aurais pas eu besoin de vouloir à ce point me protéger. Quoi que…

Pas qu’un peu plus compliquer. Je commençais à avoir le tournis avec tout ça. Mon cœur battait la chamade depuis qu’il m’avait surprise en se m’étant à califourchon sur moi. Au début, j’avais l’excuse de la surprise, mais là ça commençait à durer. Il devait y avoir autre chose et cette autre chose, je commençais à avoir une idée de ce dont il s’agissait. J’étais à la fois contente et inquiète. Je n’avais pas le temps pour ça. En plus, qui pouvait me garantir que je n’allais pas miser sur le mauvais cheval ? Raaaaa, je veux parler à Kris. Sauf que j’étais totalement coincé là… J’étais aussi très surprise d’être capable comme je le faisais actuellement. On aurait pu croire que j’étais en train de faire un spitch sur une recherche scientifique. J’étais simplement en train d’essayer de me cacher la vérité. Je le savais, mais je ne pouvais m’en empêcher. Pourquoi est-ce qu’il avait fallu que Strauss me pose cette question la dernière fois qu’on s’était vu. J’aurais pu plus facilement faire mine de ne pas savoir ce qui m’arrivait. C’était trop bizarre. Tout était trop bizarre quand j’étais avec cet homme.

- Enfin bref. Tu as l’intention de me garder longtemps longtemps comme ça, dis-je en tirant sur mes bras et en lui lançant un regard interrogateur. Si tu continues, je vais devoir réfléchir à un moyen de te rendre la pareille dès que j’en aurais l’occasion, plaisantais-je.

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◗ groupe de castiel **John Keller**

Vision d'avenir .

Je la bloque contre le lit et l'immobilise, lui montrant ce que cela fait de ne pas pouvoir bouger. Mais aussi, j'avais envie de jouer, de m'amuser avec elle, maintenant car depuis qu'elle avais parler de sa sortit j'avais un mauvais pressentiment, je n'y prête pas vraiment attention car mes seuls intuition jusqu'à présent juste avais toujours concerner mes travaux . Je la regarde ainsi un moment et rit lorsqu'elle me dit que je devrais me méfier car elle mord. Elle en fit même une démonstration peu convaincante avant de changer de sujet.

- Ton discourt sur ton petit secret à drôlement changer en une matinée, dis-je avec une voix de sous-entendu. Sans parler de ton besoin de me protéger…

-Je crois que cela aurait été plus simple pour moi si tu n’avais réagi comme ça uniquement pour Max et par égo masculin. Là s’est… Plus compliqué. J’aurais préféré avoir plus de temps pour y réfléchir. Si je t’avais rencontré après mon retour, ça aurait été plus simple. En même temps, tu n’aurais pas eu besoin de vouloir à ce point me protéger. Quoi que…

Je soupire

-Je t'avais dit que je pourrais peut-être te le dire si notre situation évoluais et le fait que tu soit cher à Max me suffit pour prendre soins de toi, j'ai juste des raisons personnelles en plus.Et pour mon ego masculin, je n'en ai pas vraiment puisque j'ai tendance à l'ignorer. Et comme tu dit c'est compliquer, mais la vie l'est et si je n'insiste pas pour t'empêcher de sortir c'est simplement parce que j'ai bien conscience que tu est têtue et que la seul manière de t'empêcher d'y allez serais de te séquestré...Au fait, dit moi , sa fait quoi de ne pas pouvoir bouger à sa guise? Car c'est ce qui t'attend si tu te fait prendre. Ils te mettrons une âme et tu ne pourras plus qu'as observer en silence une autre vivre la vie qu'elle à envie sans te demander ton avis. Elle ferras ce quel veux avec ton corps et le donneras à qui elle veux si tu vois ce que je veux dire. Dans un sens ce destin est pire que la mort.

La bonne nouvelle c'est que si cela t'arrive tu n'aurais pas a le supporter longtemps. Je viendrais te récupérer que tu le veuille ou non, si tu décide de faire ta tête de mule il en seras de même pour moi.

Je jette un regard à l'horloge et vois que midi approche.Je grogne légèrement, je ne pensais pas que le temps avais passer aussi vite.

Quoi qu'il en soit, je vais te libérer ton frère ne devrais pas tarder et que penserais-t'il si il nous voie comme cela, hum? Mais avant.

Je l'embrasse sur la joue,et la relache avant de m'asseoir à côter d'elle.

Pour en revenir à ce que j'ai dit, il est vrai que je pense que la cohabitation est possible...mais je pense également que l'insertion c'est un destin pire que la mort, j'ai parler avec des gens qui ont été libéré...et je peu te dire que de se voir aussi impuissant les à profondément perturber. C'est pour cela que je ne veux pas que t'y aille, je ne veux pas que tu subisse cela tu comprend?

.Quelques seconde après la réponse de Mel la porte s'ouvre et laisse entrer Max surement venue chercher sa soeur pour manger .Tandis qu'ils sortent je lance à Mel..

-Repasse quand tu veux et réfléchis à ce que je t'ai dit.

Je referme la porte derrière eux et prend une assiette dans mon frigo, le repos ce n'est pas encore pour aujourd'hui..

◗ vagabond **Mélicendre Strauss**

« Que cela donne-t-il quand un génie rencontre une aventureuse ? »

Il soupira quand je lui fis remarquer que la situation était loin d’être simple dans ma situation. Il devait probablement ressentir la même chose. Toujours bloqué sur le lit, j’attendais patiemment qu’il réponde. Je n’avais aucun problème avec la position dans laquelle je me trouvais ce qui était un peu étrange quand on réfléchissait à cela. J’aurais dû être gêné ou quelque chose de ce genre, mais non. Rien. Je m’en amusais au contraire, ce qui était loin d’être une habitude pour moi.

-Je t'avais dit que je pourrais peut-être te le dire si notre situation évoluais et le fait que tu sois cher à Max me suffit pour prendre soins de toi, j'ai juste des raisons personnelles en plus. Et pour mon ego masculin, je n'en ai pas vraiment puisque j'ai tendance à l'ignorer. Et comme tu dit c'est compliquer, mais la vie l'est et si je n'insiste pas pour t'empêcher de sortir c'est simplement parce que j'ai bien conscience que tu est têtue et que la seul manière de t'empêcher d'y allez serais de te séquestré...Au fait, dit moi , sa fait quoi de ne pas pouvoir bouger à sa guise? Car c'est ce qui t'attend si tu te fait prendre. Ils te mettrons une âme et tu ne pourras plus qu'as observer en silence une autre vivre la vie qu'elle à envie sans te demander ton avis. Elle ferras ce quel veux avec ton corps et le donneras à qui elle veux si tu vois ce que je veux dire. Dans un sens ce destin est pire que la mort.

Je grimaçais à l’idée qu’une autre puisse utiliser mon corps et surtout qu’elle l’utilise intimement avec quelqu’un d’autre que lui. En même temps, je n’aurais pas non plus voulu qu’elle l’utilise avec John. Nan, ça s’était encore moins envisageable que le fait qu’elle en fasse ce qu’elle veut avec un étranger. J’étais plus ou moins d’accord sur ce qu’il me disait. Pire que la mort, oui dans un certain sens, mais pas avec ce que j’avais prévu. J’aurais surement à serrer les dents un bon moment, mais cela irait. J’avais déjà tout prévu. Avant, la fin avait de grande chance de se finir par notre mort à toutes les deux, mais plus maintenant que j’avais rencontré ce groupe et décidé de mis installer. Ce n’était pas pour rien si j’attendais leur chef avant de repartir en plus du fait que j’avais prévu de lui payer mon ébergement à l’origine. Maintenant c’était plus une rentrée de fourniture supplémentaire. J’aurais très bien pu partir plus tôt au lieu de l’attendre pour régler cela puisque j’allais revenir, mais je devais le mettre au courant de certains détails avant.

- La bonne nouvelle c'est que si cela t'arrive tu n'aurais pas a le supporter longtemps. Je viendrais te récupérer que tu le veuille ou non, si tu décide de faire ta tête de mule il en seras de même pour moi.

- On verra ça. Tu n’es pas au courant de tout.

Remarquant son coup d’œil à l’horloge, je levais les yeux dans sa direction pour voir l’heure qu’il était. L’entendant grogner, j’eu un petit sourire pour une raison que j’ignorais. Peut-être par ce qu’il n’appréciait pas de voir l’heure qu’il était et ce que cela pouvait supposer.

- Quoi qu'il en soit, je vais te libérer ton frère ne devrais pas tarder et que penserais-t'il si il nous voie comme cela, hum? Mais avant.

Oui, s’était sûr que… Mais ! Il venait de m’embrasser sur la joue avant de s’asseoir comme si de rien n’était à côté de moi. Clignant bêtement des yeux sans bouger pendant deux secondes, je me relevais avec un regard dubitatif, mais amusé. Il devait faire attention à ce qu’il faisait. S’il jouait à cela, nous serions deux et il pourrait se faire prendre à son propre jeu s’il ne s’y attendait pas.

- Pour en revenir à ce que j'ai dit, il est vrai que je pense que la cohabitation est possible...mais je pense également que l'insertion c'est un destin pire que la mort, j'ai parler avec des gens qui ont été libéré...et je peu te dire que de se voir aussi impuissant les à profondément perturber. C'est pour cela que je ne veux pas que t'y aille, je ne veux pas que tu subisse cela tu comprend?

J’eu a peine le temps de dire que je comprenais que la porte s’ouvrit à la volé sur la crevette. Je ne sais pas pourquoi, mais je me dirigeais automatiquement vers mon petit frère en le faisant prendre la direction de la sortie. Je lui parlerais du reste plus tard… Ou pas. Je ne savais plus trop quoi faire à ce sujet. Je préférais attendre que Castiel soit là pour mettre tous ceux que je désirais mettre au courant au parfum, mais j’avais l’impression que j’allais devoir en parler un peu plus tôt avec John. Au besoin, je ferais comme avec Kris au sujet de mon piège. Je lui parlerais rapidement de ce point-là et verrais plus tard pour le reste. J’éviterais ainsi les oppositions ou autres. Alors que j’allais refermer la porte derrière nous, il m’interpela.

-Repasse quand tu veux et réfléchis à ce que je t'ai dit.

Un rapide hochement de la tête et je suivis perdu dans mes pensées Maxim qui me racontait sa matinée. Je l’écoutais juste assez pour savoir sur quoi portais les sujets, mais pas assez pour lui répondre. J’eu droit d’ailleurs à des reproches là-dessus, mais j’avais pas mal de choses en tête. Quelques minutes plus tard, nous entrions dans le réfectoire et j’essayais de repérer Kris que nous devions y retrouver.

C O D A G E P A R @G A K I. S U R E P IC O D E

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